Il est admis au Conseil d'État en 1943. Il n'y reste qu'un an, avant de devenir chargé de mission au secrétariat général du Gouvernement[2].
En 1946, il est nommé directeur général de la Société financière de radiodiffusion et Administrateur de RMC (1946-49)[2].
Il est nommé directeur à la présidence du Conseil (secrétariat général du Gouvernement) en 1955, est parallèlement membre du Comité de l’énergie atomique[2].
De 1982 à 1984, il est directeur de la publication et président-directeur général du Parisien libéré[2].
En 1986, il est chargé de mission au cabinet d'Édouard Balladur, où il pilote les privatisations sous le gouvernement de Jacques Chirac[2]. Il est notamment remarqué pour avoir écrit la même année avec l'inspecteur général des finances Pierre Gisserot un rapport « explosif » sur les économies à réaliser dans l'administration française. Jamais rendu public, excepté dans ses conclusions, le rapport Belin-Gisserot préconisait, pour améliorer l'efficacité de la bureaucratie, l'allègement, voire la dissolution, de plusieurs organismes considérés comme inutiles et doublons, une réorganisation majeure, et la suppression de plus de 4 000 postes de fonctionnaires[4],[5],[6].
Œuvres
1999 : Lorsqu'une République chasse l'autre, 1958-1962 : Souvenirs d'un témoin, Paris, Michalon, 287 p. (ISBN2-84186-112-0)
Liens externes
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