Roser grandit à Barcelone et intègre l'Institut de culture et bibliothèque populaire de la Femme de Barcelone (dite "La Bonne") de Francesca Bonnemaison.
En poésie, elle gagne plusieurs prix littéraires, comme en 1923 à Sarrià, aux Jeux Floraux de Barcelone. Elle publie notamment les portraits de Dolors Monserdà, Montserrat Garriga, Francesca Bonnemaison et Palmira Jaquetti dans l'ouvrage Quatre dones catalanes (Quatre femmes catalanes) en 1972 sous le franquisme[3].