En 2006, il est l'une des principales recrues des Diables Rouges de Briançon. L'entraîneur Luciano Basile le choisit, tout comme l'attaquant Pierre-Luc Sleigher car il veut apporter du caractère à son équipe. Son jeu physique se fait rapidement remarquer et sanctionner par les arbitres de la Ligue Magnus, le championnat français ne lui apportant pas que des louanges. Les briançonnais terminent troisièmes de la Ligue Magnus. Lors des demi-finales, elle est battue trois victoires à deux contre le futur vainqueur Grenoble[3]. Mais lors des séries éliminatoires, Royer est impeccable à tous les matchs, se comportant en véritable leader des lignes arrières et il est un des artisans de la troisième place du club de la ville haute.
La saison suivante, malgré sa volonté de continuer à porter les couleurs des diables rouges, il n'est conservé pour raisons financières et part alors apporter son expérience à la réserve du EC Red Bull Salzbourg en Nationalliga, le second échelon autrichien. Mais il est rapidement promu dans l'équipe type qui joue en EBEL. Le Red Bull remporte le titre de champion en battant le HDD Olimpija Ljubljana en finale. Il a passe la saison suivante à encadrer l'équipe de Nationaliga. En 2009, il commence la saison avec le HDD Olimpija mais ne trouve pas d'accord avec le club. Il retourne alors au Québec. Il s'aligne avec le club de LNAH qui a acquis ses droits en l'occurrence le CIMT de Rivière-du-Loup. Son contrat lui permet de partir en Europe s'il reçoit des offres de clubs du vieux continent. Dès le mois de novembre, il est mis à l'essai par le HC Ambri-Piotta durant la trêve internationale étant donné que le club entraîné par Benoît Laporte est décimé par les blessures. Finalement libéré, il rejoint le HC Viège pour remplacer temporairement un joueur blessé.