En 1995, il se classe 14e des championnats du monde juniors de descente à Voss.
En 1997, il termine à la 3e place du classement de la coupe d'Europe de super G.
Il fait ses débuts en coupe du monde en janvier 1998 à Schladming où il prend d'entrée une bonne 17e place. En mars 1998, il est sacré Champion de France de super G à Serre Chevalier devant Jean-Luc Crétier, Jeff Piccard et Antoine Dénériaz. Il termine à nouveau 3e place du classement de la coupe d'Europe de super G.
En 1999, il participe pour la première fois aux championnats du monde à Vail / Beaver Creek. Il y prend la 18e place du super G (meilleur français). Cette même année il est aussi vice-champion de France de descente à La Clusaz.
En 2002, il participe aux Jeux olympiques à Snowbasin où il se classe 10e de la descente et 15e du super G (meilleur français dans cette discipline).
En 2003, pour ses seconds championnats du monde à Saint-Moritz, il prend la 14e place de la descente et la 15e du super G (meilleur français dans cette discipline). Cette année, il est à nouveau vice-champion de France de descente (aux Menuires).
Au cours de sa carrière à laquelle il met fin en 2006, il compte aussi 4 tops-10 en coupe du monde et 4 victoires en coupe d'Europe.
Après sa carrière sportive, il occupe différentes fonctions au sein de l'Armée de terre : expert montagne, moniteur sport, moniteur des techniques d'optimisation du potentiel des personnels[1].
Sébastien Fournier-Bidoz participe à deux édition des championnats du monde de ski alpin : Vail / Beaver Creek en 1999 et Saint-Moritz en 2003 où il réalise ses meilleurs résultats : quatorzième de la descente et quinzième du super G[6]. En 2005 pour l'édition de Bormio il est sélectionné dans l'équipe de France pour participer à l'épreuve de descente[7],[8], mais il chute lourdement et se blesse trois semaines plus tôt lors de la descente de Coupe du monde de Chamonix[9] et ne peut finalement y participer.
Classements de Sébastien Fournier-Bidoz aux Championnats du monde par édition[6]