Issu du swing et du RnB, le genre est popularisé par des artistes de glam rock comme T. Rex avec leur tube Hot Love en 1971, et Gary Glitter avec son tube Rock and Roll Part 2 en 1972[1].
Le rythme schaffel est resté utilisé dans les genres de musique électronique et on le retrouve dans des titres tels que Personal Jesus de Depeche Mode[1].
Kompakt, le label de Michael Mayer, a sorti une série de compilations intitulées Schaffelfieber (trad. : « Fièvre du schaffel »)[2].
(en) Sean Nye, « Minimal Understandings: The Berlin Decade, the Minimal Continuum, and Debates on the Legacy of German Techno », Journal of Popular Music Studies, vol. 25, no 2, , p. 154–84 (DOI10.1111/jpms.12032).
(de) Stefanie Morget, « Die Rolle der Variabilität beim Einsatz von Musik am Beispiel der L2-Aussprachevermittlung » [« The role of variability in the use of music as an example of L2 pronunciation mediation »], ÖDaF-Mitteilungen, vol. 31, no 1, , p. 51–63 (DOI10.14220/odaf.2015.31.1.51).