Il est né dans une famille Juive. Ses parents ont fui la Pologne dans les années trente pour la Palestine avant de rejoindre la France. Il rencontre en 1960 Geneviève, celle qui sera son épouse. Il a une fille, Delphine, et trois petits-enfants[3]. En 1970, son père meurt dans un accident de voiture : c'est le choc qui provoque l'écriture de son premier livre Le soleil ni la mort édité par Maurice Nadeau en 1975.
Michel Tournier, Henri Veyrier, 1986 (2e édition, Julliard, 1995 - 3e édition, Zulma, , revue et augmentée ). Grand prix de la critique du Pen Club, 2005.
Racine, une passion française, PUF, « Perspectives critiques », 1998. Grand prix de l'essai de la Société des gens de lettres, 1998.
L’Aura de leur nom, PUF, « Perspectives critiques », 2003.
« La vieillesse dans les textes », PUF, 2007 (in Fondation Eisai, Quand est-ce que je vieillis ?).
Léautaud tel qu'en moi-même, Éditions Léo Scheer, 2010.
Je ne mourrai pas tout entier, Éditions Léo Scheer, 2012.
Les blondes flashantes d'Alfred Hitchcock, Éditions Léo Scheer, 2013. Traduction espagnole Las fascinantes rubias de Alfred Hitchcock de Manuel Arranz, Editorial Periférica, Cáceres 2015[7].
Mes brouilles, Éditions Lėo Scheer, 2014.
Montaigne sans rendez-vous[8], Éditions Lėo Scheer, 2015.
Un été sans fin[3], Éditions Pierre-Guillaume de Roux, 2015.
Tournier parti, Editions Pierre-Guillaume de Roux, 2019.
Préfaces
Claude Roy un poète, Gallimard Jeunesse, 1980.
Une nuit au Luxembourg par Remy de Gourmont, L'Arbre Vengeur, 2003.
Traductions
Catulle ou l'invective sexuelle, La Musardine, 2002.
Martial ou l'épigramme obscène, La Musardine, 2004.