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Essayons de traduire le nom de Seybouse destiné à une rivière qui coule pour alimenter la bejjima et les deux symbolisent la fertilité des lieux. Si la seconde tire son nom d’une plante poussant sur ses berges qui signifierait tamer el hindi , en Français Tamarin, qui est lui-même inspiré de l’Arabe, la première par contre relate l’histoire de la mort par noyade d’un prince Numidien qui aimait y nager attiré autant par la pureté de ses eaux que par la beauté de son site. À cette époque, tous les actes de la vie se devaient d’être glorifiés, même funèbres soient-ils, ce qui donnera le nom de ce prince UBUSE à la rivière pour aboutir à : SEIF : qui veut dire en langue berbère : rivière et a -UBUSE : nom de ce noble disparu dans les eaux. Et enfin en combinant les deux mots le lieu et la personne nous obtenons «SEIFUBUSE » qui est devenu à travers les âges « Seybouse ».
Les étymologies "Seybouse" et "Bejjima" (Boujima) de H'sen Derdour ne reposent sur aucun fondement.