S'inscrivant en marge des grands courants artistiques, il développe une veine toute personnelle dans des tableaux de paysages et des portraits expressifs, notamment de grands écrivains tels qu'André Gide, Roger Martin du Gard ou Paul Valéry qu'il recevait régulièrement dans sa villa La Souco à Roquebrune-Cap-Martin. Mais ce sont surtout ses pastels d'animaux, traités avec un grand souci du détail et de la simplification des formes, qui l'ont rendu célèbre.
Exposant au Salon des artistes français, il obtient une mention honorable en 1894 où il expose Le Joueur de clarinette ainsi que Saint Georges terrassant le dragon. Le portrait d'Albert Maignan est exposé en 1896.