Lors du scrutin du , il remporte la victoire, devançant de peu la députée sortante d'Argenteuil—Papineau—MirabelMylène Freeman du Nouveau Parti démocratique. Au cours de son premier mandat, il est porte-parole de son parti en matière d'Agriculture et Agro-alimentaire, ainsi que d'Emploi et Développement social[4], de à .
À deux reprises, Simon Marcil obtient l'appui unanime de la Chambre des communes du Canada concernant la protection du système de la gestion de l'offre. Le , il propose une motion, adoptée sans débat, qui réclame la protection intégrale du système de la gestion de l'offre dans la renégociation de l'Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA)[5],[6]. Plus tard, le , il propose une motion similaire relative à la négociation du Partenariat transpacifique global et progressif (PTPGP)[7],[8]. Pourtant, finalement, le PTPGP a entamé le système de gestion de l'offre pour les produits laitiers et la volaille[9].
Simon Marcil fait partie des sept députés du Bloc québécois qui quittent le parti en [10],[11] et siègent sous l'étiquette de Groupe parlementaire québécois à la suite de désaccords avec la cheffe Martine Ouellet.
Cependant, tout comme son collègue Michel Boudrias, il ne suit pas les députés dissidents quand ceux-ci renomment leur groupe « Québec debout » et continue à siéger sous la première étiquette[12]. Les deux sont également les premiers à rejoindre leur ancienne formation politique dès l'annonce de la démission de Martine Ouellet[13].
À son retour au Bloc, il assume les fonctions de président du caucus (juillet-), puis de whip du parti (-)[4].
Deuxième mandat
Lors des élections d'octobre 2019, Simon Marcil est réélu avec 51 % des voix. Il est porte-parole de son parti en matière de Sécurité publique et de Protection civile de à [4].