Stéphanie Lapointe est une chanteuse, actrice et auteure québécoise née le à Brossard, au Québec. Elle est la gagnante de la deuxième édition de Star Académie (version québécoise, 2004).
Stéphanie Lapointe prend ses premiers cours de piano à l'âge de huit ans.
À 12 ans, elle se rend en France dans le cadre d’un projet éducatif et y donne sa première performance théâtrale sur scène. À 17 ans, elle devient membre d’une troupe amateur qui monte des comédies musicales. Elle joue dans La Belle et la Bête, Aïda et Once on This Island tout en continuant de suivre des formations en danse, en chant et en théâtre.
Si elle n’est pas retenue à sa première audition pour « Star Académie », c’est elle que le public choisit et couronne gagnante de Star Académie 2004[1]. Avec les autres académiciens, elle participe à La Tournée Star Académie 2004, avec L’Infidèle et Si fragile.
À l’automne 2004, elle fait des débuts au petit écran dans la télésérie Le Négociateur, sur le Réseau TVA. Elle tient le rôle de Marie-Anne Caron, la jeune mère d’Aurore Gagnon, dans le film Aurore qui sort à l’été 2005. En 2004, elle est notamment invitée à deux reprises par Isabelle Boulay à partager la scène de L'Olympia de Paris. Elle présente, le , Sur le fil, son tout premier album en solo.
Elle a accepté de devenir porte-parole du projet Au sommet pour Care et est allée gravir le Kilimandjaro avec eux au bénéfice de la fondation Care Canada.
En 2011 elle participe à la nouvelle comédie musicale : Les filles de Caleb où elle tient le rôle de Blanche.
Après son implication avec Care Canada, elle s'engage auprès de l'UNICEF, dont elle devient ambassadrice en 2007[2]. En 2008, elle fait un séjour incognito dans des camps de réfugiés au Darfour dans le cadre du projet de documentaireÀ ciel ouvert. Le projet fut mené en collaboration avec l'UNICEF et Radio Canada International[3],[4].
En 2009, elle présente l'album Donne-moi quelque chose qui ne finit pas où elle interprète, entre autres, une version française de la chanson Bang Bang[4].
À l'automne 2014, Lapointe fait paraître un troisième album, Les amours parallèles, sous Simone Records[5].
↑Isabelle Crépeau, « Stéphanie Lapointe : les étoiles filantes… », Lurelu, vol. 43, no 1, , p. 7–8 (ISSN0705-6567 et 1923-2330, lire en ligne, consulté le )