Elle se consacre à la littérature et publie sous le nom de son mari jusqu'à son décès en 1804. Elle s'installe alors à Stuttgart où elle écrit le Morgenblatt für gebildete Stände(en). En 1828, elle publie aussi deux volumes de la Correspondance de J.-G. Forster[1].
Les six volumes de ses Contes ne sont édités par son fils qu'à titre posthume de 1830 à 1833[1].