Le joueur incarne un agent du Strategic Homeland Division (SHD, la « Division »), sept mois après les événements du premier opus, cette fois-ci à Washington. Plusieurs factions occupent la ville au début du jeu : les Hyènes (un gang de pillards), les True Sons (des paramilitaires) et les Parias (les survivants de la quarantaine forcée). Par la suite, la ville est envahie par une autre faction plus redoutable, les Black Tusks.
D'après un test de Jeuxvideo.com, il faut « entre 25 et 30 heures pour simplement accéder au niveau maximal » (niveau 30)[1].
Au niveau 30, une spécialisation est possible : démolisseur, tireur d'élite, survivaliste, artilleur, incendiaire ou technicien avec l'octroi d'une arme appelée arme signature (respectivement le lance-grenades, le fusil de précision lourd au coup par coup chambré en .50 BMG, l'arbalète, le minigun, le lance-flammes et le lance-missiles) et de bonus spécifiques [1]. Une partie des bonus est cependant commune à toutes les spécialisations (bonus de dégâts suivant la catégorie d'armes et pour l'arme signature).
Les spécialisations artilleur, incendiaire et technicien disposent en plus de recherches de terrain, qui accordent des camouflages d'armes et des schémas quand elles sont complétées.
Commercialisation
Le budget de développement jeu avoisinerait les 100 millions d'euros. Conçu comme un game as a service, The Division 2 est le plus gros jeu commercialisé dans l'année 2019 par Ubisoft, qui espère grâce à lui réaliser un grand trimestre fiscal[2].
Le , Ubisoft annonce délaisser Steam sur PC au profit de la boutique Epic Games[3],[4],[5]. D'après Les Échos, le magasin en ligne se serait engagé à verser un montant minimum de 50 millions de dollars à l'éditeur en échange d'un tel geste[2].