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Vic-Fezensac se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographiqueAdour-Garonne[3]. Elle est drainée par l'Osse, l'Auzoue, la Guiroue, le Sanipon, le ruisseau du pesqué nau, un bras de l'Auzoue, un bras de l'Osse, un bras de l'Osse, le ruisseau de Barbazan, le ruisseau de bellion, le ruisseau de Carget, le ruisseau de Cassagne, le ruisseau de Cavé, le ruisseau de Dané, qui constituent un réseau hydrographique de 61 km de longueur totale[4],[Carte 1].
L'Osse, d'une longueur totale de 120,3 km, prend sa source dans la commune de Bernadets-Debat et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gélise à Andiran, après avoir traversé 36 communes[5].
L'Auzoue, d'une longueur totale de 74,3 km, prend sa source dans la commune de Mascaras et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Gélise à Réaup-Lisse, après avoir traversé 19 communes[6].
La Guiroue, d'une longueur totale de 26,3 km, prend sa source dans la commune de Saint-Christaud et s'écoule vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Osse à Vic-Fezensac, après avoir traversé 11 communes[7].
En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 815 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Beaucaire à 11 km à vol d'oiseau[10], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 775,9 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[14] :
les « coteaux de Jouéou-Bordeneuve » (75 ha), couvrant 2 communes du département[15].
Urbanisme
Typologie
Au , Vic-Fezensac est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle appartient à l'unité urbaine de Vic-Fezensac[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est ville-centre[Note 3],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vic-Fezensac, dont elle est la commune-centre[Note 4],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 4],[I 5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (43,4 %), terres arables (36,9 %), prairies (11,1 %), zones urbanisées (3,5 %), forêts (2,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), cultures permanentes (0,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Osse, l'Auzoue et la Guiroue. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIeContrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[19]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1993, 1999, 2000, 2003, 2009, 2010, 2015, 2018 et 2020[20],[17].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 768 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 767 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 1996, 2002, 2011, 2015, 2016 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[17].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[23].
Toponymie
Vic-Fezensac vient du latinvicus qui est le village, et de Fedentiacus, du nom du comté de Fezensac existant dès le VIIIe siècle.
Histoire
L'Astronome écrit qu'en 801, Bourguignon étant mort, le comté fut donné à Luitard (Leuthard Ier de paris). Les Gascons mécontents de cette nomination, se livrèrent à un tel désordre qu'ils firent périr par le fer une partie des hommes d'armes du nouveau comte, et firent mourir le reste dans les flammes. Appelés en jugement, ils refusèrent d'abord d'obéir ; mais, contraints enfin à venir se défendre, ils subirent la peine que méritait une telle audace, et quelques-uns mêmes, condamnés d'après la loi du talion, périrent par le feu.
Fezensac devait être à l'origine un établissement agricole romain. Entre le XIe et le XIVe siècle,Vic-Fezensac présente une double caractéristique à la fois sauveté autour de l’église, et castelnau auprès du château des comtes de Fezensac,puis d’Armagnac.
L'ancien couvent des Cordeliers ou en 1382, le pape Clément VII autorisa le comte Jean III d'Armagnac à fonder un couvent de frères mineurs auprès du château comtal aujourd'hui disparu. Il reste le clocher, les soubassements de l'église, ainsi qu'une belle porte brisée à voussures inspirée de celle des Cordeliers de Toulouse.
Saccagée par les troupes protestantes de Gabriel Ier de Montgommery, la chapelle fut réédifiée sous sa forme actuelle. Seul vestige du XIVe/XVe siècle, le clocher carré est creusé dans sa partie supérieure d'arêtes épannelées. Il est éclairé de baies tréflées en arc brisé. Les assises de briques qui ponctuent les élévations sont des restaurations des brèches pratiquées au XVIe siècle. Le couvent est propriété de l'hôpital depuis 1913.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].
En 2021, la commune comptait 3 581 habitants[Note 5], en évolution de +2,67 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Vic-Fezensac dispose d'une école maternelle publique (135 élèves en 2013)[35], d'une école élémentaire publique (218 élèves en 2013)[36] et d'un collège, le collège Gabriel Séailles (250 élèves)[37].
Manifestations culturelles et festivités
La Feria de la Pentecôte, Pentecotavic, a lieu chaque année le week-end de la Pentecôte, profitant ainsi du lundi férié. Pour l'occasion, environ 45 000 festayres viennent faire la fête dans ce petit village de 3 500 habitants. Cet événement est relativement notoire en France car en parallèle des traditionnelles corridas se déroulant dans les arènes du village, la feria de Vic-Fezensac est connue pour son festival de fanfares. C'est le rendez-vous des fanfares de France, pour une joute musicale de deux jours ayant pour point d'orgue le défilé du dimanche après-midi. La ville est membre du l'Union des villes taurines françaises.
La Fête de la Saint-Mathieu se déroule le troisième week-end de septembre. C'est une fête votive avec bal et animations.
Arènes Joseph-Fourniol à Vic-Fezensac.
Arènes Joseph-Fourniol. Monument au torero Ruiz Miguel.
Cinéma Brana.
Le kiosque à musique sur la place de la Mairie où la scène du marché sous les arcades, avec Michel Serrault tenant un stand de vente de canard avec sa nouvelle famille gersoise dans le film Le bonheur est dans le pré, a été tournée.
Santé
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Sports
L'Union Athlétique Vicoise (UAV) regroupe plusieurs sections sportives :
Rugby : le rugby à XV est représenté par l'UAV Rugby qui évolue en Régional 1 et joue à domicile au stade de Goulin. Le club est notamment champion de France Honneur le à Quillan en battant Jarrie 8-3 et champion de France de 3e division en 1967 après une victoire 9-5 contre le Céret sportif au stade Pierre Balussou de Pamiers[38] ;
Football : l'équipe première de l'UAV Football évolue actuellement au niveau Départementale 1 qui est le plus haut niveau départemental tandis que l'équipe réserve, elle, évolue au niveau en dessous, en Départementale 2.
Les équipes jouent à domicile au stade des Acacias ;
Basket-Ball : l'UAV Basket ne concerne que les filles, l'équipe première évolue en Régionale 2 et joue à domicile au gymnase du collège ;
Handball : l'UAV Handball joue à domicile au gymnase du collège.
On compte également de nombreux autres sports à Vic-Fezensac, comme le tennis (TCV), les sports de combats, le tennis de table...
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 672 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 3 291 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 110 €[I 6] (20 820 € dans le département[I 7]). 38 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 7] (43,9 % dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 860 personnes, parmi lesquelles on compte 76,8 % d'actifs (68,3 % ayant un emploi et 8,5 % de chômeurs) et 23,2 % d'inactifs[Note 8],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France.
Sur ces 1 304 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 657 travaillent dans la commune, soit 50 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 83,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 11,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
343 établissements[Note 9] sont implantés à Vic-Fezensac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 15].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
343
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
28
8,2 %
(12,3 %)
Construction
34
9,9 %
(14,6 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
115
33,5 %
(27,7 %)
Information et communication
2
0,6 %
(1,8 %)
Activités financières et d'assurance
12
3,5 %
(3,5 %)
Activités immobilières
16
4,7 %
(5,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
36
10,5 %
(14,4 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
61
17,8 %
(12,3 %)
Autres activités de services
39
11,4 %
(8,3 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,5 % du nombre total d'établissements de la commune (115 sur les 343 entreprises implantées à Vic-Fezensac), contre 27,7 % au niveau départemental[I 16].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[39] :
La tauromachie joue un rôle économique non négligeable (fréquentation hôtelière...).
Vic-Fezensac est aussi une ville de marchés : marché traditionnel tous les vendredis matin, marché nocturne le mercredi soir l'été (2 en juillet et 2 en août), foire aux chevaux le premier samedi d'avril et le premier samedi de novembre.
Agriculture
La commune est dans le Ténarèze, une petite région agricole occupant le centre du département du Gers, faisant transition entre lʼAstarac “pyrénéen”, dont elle est originaire et dont elle prolonge et atténue le modelé, et la Gascogne garonnaise dont elle annonce le paysage[40]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 124 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 74 en 2000 puis à 59 en 2010[42] et enfin à 57 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[43],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 4 203 ha en 1988 à 3 069 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 34 à 54 ha[42].
L'église Saint-Pierre fut une collégiale à partir de 1190. Cette partie de la ville, régie par un collège de chanoines acquis à la cause de l'archevêque d'Auch, était en perpétuelle opposition avec la cité des comtes.
L'édifice est dominé par un clocher octogonal en pierre, très simple, datant du XIXe siècle.
La nef fut construite à la fin du Moyen Âge mais a été remaniée au XIXe siècle. Elle s'ouvre sur un joli portail au Midi. L'angle nord-ouest est cantonné d'une tourelle coiffée en poivrière.
L'intérieur
Le chevet et son absidiole sont voutés en cul-de-four et décorés de colonnettes et de frises romanes. Dans l'absidiole sud, on peut admirer des peintures du XVe siècle.
La nef est de plan basilical à trois travées datant des XIVe et XVe siècles. Elle a perdu sa voûte lors des guerres de Religion au XVIe siècle. L'aspect actuel de la nef date du XVIIe siècle : huit piliers de pierre supportent une voûte charpentée évoquant une carène de navire.
Kiosque de la musique se trouve sur la place Julie ST AVIT résistante dénoncée aux nazis par un traître et morte à son retour des camps de concentration,
La place est l'ancien point de contact entre le vicus de l’Archeveque d’Auch et le castrum des comtes. Sur la place se trouvait une halle de bois édifiée en 1426 par les consuls et qui fut détruite en 1866.
En 1994, Étienne Chatiliez, déjà connu pour ses films La vie est un long fleuve tranquille et Tatie Danielle, est venu dans le Gers afin de trouver un marché typique de la région pour son prochain film, Le bonheur est dans le pré. Il avait déjà parcouru la Dordogne et les Landes mais n'avait pas trouvé son bonheur. Il voulait tourner dans un pays où l'on fait du foie gras. Comme il venait en vacances à Condom quand il était enfant, il a pensé au Gers. Dans le Le bonheur est dans le pré, sorti en 1995, des scènes, dont celle du marché sous les arcades de la place de la Mairie où Michel Serrault tient un stand de vente de canard avec sa nouvelle famille gersoise, ont été tournées à Vic-Fezensac. Une grue avait été installée sur cette place afin de tourner durant une seule journée. Les commerçants locaux et des figurants ont participé à cette scène pour retranscrire la douceur de vivre rurale et la vie du village, avec des étals et des gens authentiques.
La scène de bistrot, au zinc duquel Eddy Mitchell et Michel Serrault enchaînent les verres, a été tournée dans le hall transformé du cinéma de Vic. Par ailleurs, une petite polémique est née lors de la sortie du film. En effet, la production avait placé le panneau de Condom à l'entrée du village de Vic-Fezensac, afin d’amuser le public anglophone, « condom » signifiant « préservatif » en anglais. Le spectateur se croyait donc à Condom, alors qu'il était à Vic. Les Condomois étaient agacés puisqu'aucune scène n'avait été tournée chez eux. Et pour les Vicois, c'était l'inverse. Des scènes s'étaient déroulées dans leur village, mais on n’entendait jamais le nom de Vic-Fezensac. Cependant, à chaque fois que le film repasse à la télévision, quelques curieux viennent se promener dans le village. Cela constitue une publicité positive et gratuite pour le département de Gers. Les tournages à la ferme, où le réalisateur a installé son personnage principal incarné par Michel Serrault, ainsi que les décors naturels, ont quant à eux été réalisés à Biran à une dizaine de kilomètres de Vic-Fezensac.[réf. nécessaire]
De gueules au pal cousu d'azur chargé d'une fleur de lys d'or en chef[45].
Voir aussi
Bibliographie
Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN2-9505900-7-1, BNF39151085)
Section locale de la Société Archéologique du Gers, Vic-Fezensac. Des siècles d'histoire. Une cité parfois rebelle, p. 319, Éditions "Les Presses de Gascogne", Vic-Fezensac, 2006 (ISBN2-9505900-9-8)
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Vic-Fezensac, il y a une ville-centre et une commune de banlieue.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[41].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )