Entré à l'école des beaux-arts de Paris en 1814, alors qu'il est à peine âgé de 13 ans, Victor Adam expose ses premiers tableaux en 1819. Il a été l'élève de Charles Meynier, puis du Jean-Baptiste Regnault. Par la suite, il s'essaye à la lithographie et c'est finalement dans cette forme d'expression artistique qu'à partir de 1823[2] il s'est exprimé, en réalisant près de 8 000 planches.
. Promenade pittoresque dans Paris, avec Bichebois & Sabatier, à Paris chez Bichebois, Chaillou-Potrelle et Rittner / à Londres chez Tilt, s.d., 7 lithographies.
Chaise de poste, L'Estafette, Messageries royales, Malle poste à cinq chevaux, L'attente du maître et Promenade du matin, lithographies, musée de Louviers (legs de Mlle Hortense Vignon)
↑ Émile Dacier, La gravure française, Larousse, 1944, p. 147.
↑Nieres-Chevrel, Isabelle, 1941- ... et Perrot, Jean, 1937- ..., Dictionnaire du livre de jeunesse : la littérature d'enfance et de jeunesse en France, Paris, Electre-Ed. du Cercle de la Librairie, dl 2013, 989 p. (ISBN978-2-7654-1401-8 et 2765414017, OCLC862208705, lire en ligne), p. 7
↑« Arnout, Jean-Baptiste» , in: H. Beraldi, Dictionnaire des graveurs du Dix-neuvième siècle, tome I, Conquet, 1885, pp. 59-61.
Jean Laran, Inventaire du Fonds Français, Après 1800, Paris, 1930, t. 1, p. 35-71.
Émile Dacier, La gravure française, Larousse, 1944.
(en) David Karel, « Adam, Victor », notice du Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord : peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, photographes, et orfèvres, lire en ligne, (ISBN9782763772356), 1992, page 2.
Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ, 1999.