Juste vient de mourir et une passeuse d'âme lui permet de rester encore un peu afin de recueillir le dernier souvenir des mourants. Il croise Agathe dans Paris qui semble le reconnaître.
Le premier long-métrage de Stéphane Batut est bien accueilli par la critique lors de sa projection au Festival de Cannes qui salue son romanesque et sa poésie[4],[5]. Le Prix Jean-Vigo récompense « son audace poétique, son romantisme intemporel, sa croyance dans les pouvoirs du cinéma à transcender les frontières de la vie et de la mort »[6].
Le film reçoit de bons retours, avec une note moyenne de 3.6 sur AlloCiné.
Selon Les Fiches du cinéma, « Cet Orphée d'aujourd’hui tient en équilibre sur le fil fragile d’un réalisme fantastique sans jamais chuter. Un premier film emballant ! »[9]. Pour Première, « Vif-Argent déploie cette intrigue avec une grâce poétique jamais prise en défaut. Ni pleinement tragi-comédie romantique ni totalement film de genre, sa singularité le rend terriblement attachant. »[10].
Dans Télérama, Pierre Murat écrit que Vif-Argent est « un drôle de premier film, bizarre, original, avec un sens du romanesque et un goût pour le lyrisme, extrêmement rares dans le cinéma actuel »[11].