Sources : INS, Rem. : 1831 jusqu'en 1970 = recensements, 1976 = nombre d'habitants au 31 décembre.
Historique
Wandre se compose de Wandre, Souverain Wandre, Rabosée et de la Xhavée, et avant la fusion des communes Chefneux et La Motte complétaient la commune.
C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.
La rue de la Forêt et la rue Rabosée forment plus ou moins la limite entre, côté nord, la ville de Liège, et, côté sud, la commune de Blegny, et que Chefneux et La Motte font maintenant partie de la commune de Blegny, secteur postal de Saive.
Le , les 16e et 53e RI et 26e RAC-Régiment d'Artillerie de Campagne de l'armée impériale allemande passèrent par les armes 31 civils et détruisirent 15 maisons lors des atrocités allemandes commises au début de l'invasion[2].
Wandre a une grande rue, la rue de Visé.
Cette ancienne commune compte trois églises paroissiales dont les patrons sont : Saint-Étienne pour Wandre, Saint-Roch pour Souverain Wandre, Notre Dame du Mont Carmel pour la Xhavée.
↑Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne).
↑John Horne et Alan Kramer, 1914 Les atrocités allemandes, Tallandier, , 640 p. (ISBN2-84734-235-4), p. 478
Voir aussi
Bibliographe
Anne-Marie Blistin, 1883, Mémoires d'une Wandruzienne, t. 9, Les Cahiers de Richelle,