Depuis , il est directeur de l'entreprise de sondages Factum, laquelle connaît son baptême de feu en faisant des sondages à la sortie des urnes à l'occasion du référendum sur la loi d'amnistie de 1986(es) concernant les violations des droits de l'homme commises par les militaires lors de la dictature. Son fils, Eduardo Botinelli, sociologue, travaille également chez Factum.
C'est un interlocuteur fréquent des médias (Canal 4, etc.) et il écrit souvent dans El Observador et El Espectador.