« Guillaume[4], surnommé le Vieux, fonde, à Surgères [en Aunis], une aumônerie ou hôpital, près Saint-Gilles, afin d'y ouvrir un refuge aux pauvres et aux infirmes[5]. »
Un hôpital Sant'Ansano est mentionné à Sesto di Moriano, près de Lucques, en Toscane[9],[10].
Vers 1105 : « création d'une collégiale implantée auprès de son château par Richard de Reviers, seigneur des lieux », établissement qui est à l'une des origines de l'hôtel-Dieu de Néhou, en Normandie[11].
↑Stéphane Barry, Luc Hessel et Norbert Gualde, « La Grippe, une menace éternelle », Bulletin canadien d'histoire de la médecine (CBMH/BCHM), vol. 24, no 2, , p. 450 (lire en ligne).
↑« Reliquaire de la Sainte Chandelle », plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, (lire en ligne).
↑Abbès Zouache, « La Mort qui rôde : Épidémie, sociétés et guerre au Proche-Orient (VIe/XIIe siècle) », dans François Clément (dir.), Épidémies, épizooties : Des représentations anciennes aux approches actuelles, Rennes, Presses universitaires de Rennes, (ISBN978-2-75358506-5, lire en ligne), p. 93-120 (§ 20 et 21 en ligne).
↑Guillaume Maingot, châtelain de Surgères entre 1100 et 1130 environ, « héritier » et successeur de Hugues, et « se proclamant défenseur de la maison aumônière de Saint-Gilles à sa fondation ». (Collectif, avec le concours de Jacques Duguet et de la Société des sciences naturelles et humaines de Surgères, Surgères, Surgères, Office de tourisme, , 183 p. (lire en ligne), p. 9-24.)
↑Joseph Briand, Histoire de l'Église santone et aunisienne, depuis son origine jusqu'à nos jours, t. 1, La Rochelle, chez Frédéric Boutet, impr., libr.-éd. de Mgr l'Évêque et du clergé, , 700 p. (lire en ligne), p. 414.
↑Denis Durand de Bousingen, L'Hôpital de Strasbourg : Une ville dans la ville, Barr, Le Verger, (ISBN978-2-84574-036-5, présentation en ligne), cité dans « Hôpital civil (Strasbourg). Des origines à 1716 », Archi-wiki (Association Archi-Strasbourg), 28 septembre 2018 [lire en ligne (page consultée le 18 octobre 2018)].
↑« CereVM » est un chronographe, c'est-à-dire une phrase dont certaines lettres composent une date. Ici, « MCV », soit « 1105 », est formé de trois des lettres de « cerevm », ou « cereum », mot latin pour « cierge ».
↑Louis Cavrois, Cartulaire de Notre-Dame-des-Ardents à Arras : CereVM[7], Arras, Eugène Bradier, éd., (lire en ligne), « Histoire de la confrérie de Notre-Dame des Ardents », p. 35 et suiv.
↑(it) « Oratorio di Sant'Ansano (Sesto di Moriano) », dans Le Chiese delle diocesi italiane : Chiese e Parrocchie italiane, Conferenza Episcopale Italiana, (lire en ligne).
↑« Ospedale di Sant'Ansano », Regione Toscana, s. d. [lire en ligne].
↑« Néhou », dans Maladreries, léproseries, hôtels-Dieu et hébergements charitables du Cotentin médiéval, VI : Les Hôtels-Dieu du Cotentin médiéval, Pays d'art et d'histoire du Clos du Cotentin, [lire en ligne (page consultée le })].
↑Marie-Laure Pain-Caze et Jean-Pierre Caillet (dir.) (thèse soutenue pour l'obtention du doctorat d'histoire de l'art), L'Architecture monastique sous le règne de Charlemagne, vol. 1 : Catalogue de notices, Paris Nanterre, , 514 p. (lire en ligne), p. 136.
↑ a et b(it) Salvatore De Renzi(en), Storia documentata della scuola medica di Salerno, Naples, Stab. tip. de Gaetano Nobile, , 2e éd., XVI-608-CLXXVIII p. (lire en ligne), p. 240.
↑Pierre Guichard, L'Espagne et la Sicile musulmanes aux XIe et XIIe siècles, Lyon, Presses universitaires de Lyon, coll. « Histoire et archéologie médiévales » (no 6), , 242 p. (ISBN978-2-7297-1065-1, lire en ligne), chap. 51 : « L'Essor de la philosophie andalouse au XIIe siècle : Ibn Badjdja (Avempace), Ibn Tufayl (Abubacer), Ibn Rushd (Averroès) », p. 209-214 [§ 1 en ligne].
↑Silvia Di Donato, « Thèmes, argumentations et style de l’œuvre d'Ibn Bâjja », Eu-topias, vol. 3, , p. 48, col. 1 (lire en ligne).
↑« Avant 1110 » : St. John's College [lire en ligne] ; « 1109-1110 » : Encyclopaedia Britannica [lire en ligne] ; « 1110 » : Bibliothèque nationale de France [lire en ligne] ; etc.
↑Nicolas Éloy, Dictionnaire historique de la médecine, contenant son origine, ses progrès [etc.], t. 2, Liège et Francfort, J. F. Bassompierre, , 474 p. (lire en ligne), p. 82.