Ouverture de l'hôpital de la santé de Rennes, en Bretagne, « pour recevoir les malades contagieux et plus spécialement les pestiférés », auquel s'annexera l'hospice des incurables en , et qui est à l'origine de l'hôpital Pontchaillou, partie de l'actuel centre hospitalier universitaire de la ville [3].
1607 ou : la maison-Dieu de La Licorne, fondée en - à Saint-Malo par Geoffroi de Pontual et qui est aux origines de l'actuel centre hospitalier de la ville, est transférée sur les terrains alors libérés par le sanitat[4],[5].
Publications
Joseph du Chesne fait paraître sa pharmacopée (Pharmacopoea dogmaticorum restituta[6]).
Giovanni Antonio Magini défend l'utilisation de l'astrologie en médecine dans son De astrologica ratione[7].
Mathurin Morice (né à une date inconnue), « médecin spargirique », inscrit sur « l'état des officiers domestiques de la maison du roy [Henri IV[10]] ».
Références
↑P[ierre] Huard et J[acques] Poulet, « L'Hôpital Saint-Louis », Histoire des sciences médicales, vol. 5, no 4, , p. 693-702 (lire en ligne).
↑(en) Andrew Gregory, « William Harvey, English Physician », dans Encyclopedia Britannica, (lire en ligne).
↑« CHU de Rennes », dans Histoire de l'Inserm, Inserm, s. d. (lire en ligne).
↑Henri-Georges Gaignard (préf. Joseph-Marie Trévily), Connaître Saint-Malo, Paris, Fernand Lanore, (1re éd. 1973), 298 p. (ISBN978-2-85157-092-5, lire en ligne), p. 133.
↑(la) Joseph du Chesne, Pharmacopoea dogmaticorum restituta pretiosis selectisque, hermeticorum floribus abunde illustrata, auctore Ios[epha] Quercetano cons[iliario] et medico regio, Parisiis [à Paris], apud Claudium Morellum [chez Claude Morel], m. dc. vii [1607], 640 p. (lire en ligne).
↑(en) Pietro Daniel Omodeo, Copernicus in the Cultural Debates of the Renaissance : Reception, Legacy, Transformation, Leyde, Brill, , 433 p. (ISBN978-90-04-25450-3, lire en ligne), p. 141.
↑« Georg Bartisch (1535-1607) », sur Data BnF [lire en ligne (page consultée le 25 février 2021)].
↑(de) Johannes Steudel, « Bartisch, Georg », dans Neue deutsche Biographie, vol. 1 : Aachen-Behaim, Berlin, (lire en ligne), p. 611.
↑Stephen Bamforth, « Paracelsisme et médecine chimique à la cour de Louis XIII », dans Paracelsus und seine internationale Rezeption in der frühen Neuzeit : Beiträge zur Geschichte des Paracelsismus, Leyde, Brill, coll. « Studies in Intellectual History » (no 86), (ISBN978-90-04-24740-6, lire en ligne), p. 223.