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Agneaux

Agneaux
Agneaux
L'église Saint-Jean-Baptiste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Saint-Lô Agglo
Maire
Mandat
Patrick Simon
2024-2026
Code postal 50180
Code commune 50002
Démographie
Gentilé Agnelais
Population
municipale
4 255 hab. (2021 en évolution de +5,43 % par rapport à 2015)
Densité 655 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 00″ nord, 1° 06′ 40″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 86 m
Superficie 6,50 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Saint-Lô
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Lô
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Lô-1
Législatives Première circonscription
Localisation
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Agneaux
Liens
Site web www.agneaux.fr

Agneaux (prononcé [aɲo:]) est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 4 255 habitants[Note 1].

Géographie

Agneaux est une commune résidentielle dont la partie urbaine constitue l'ouest de l'agglomération saint-loise, composée d'un habitat essentiellement pavillonnaire, le long de la route Saint-Lô-Coutances, au centre du pays saint-lois. Son bourg est à 1,6 km à l'ouest du centre-ville de Saint-Lô, à 9 km au nord-est de Canisy et à 12 km à l'est de Marigny[1].

Le territoire est traversé par la route nationale 174 dont un échangeur est dans la commune. S'y raccordent la route départementale no 972 (ancienne route nationale 172) reliant Saint-Lô à l'est à Coutances à l'ouest, et la D 900e3, annexe de la D 900 qui permet de rejoindre Hébécrevon au nord-ouest. De cette D 900 part la D 149 qui rejoint La Chapelle-en-Juger à l'ouest. L'accès à l'A84 est à Guilberville (échangeur 40) à 24 km au sud-est.

Agneaux est dans le bassin de la Vire qui délimite le territoire au nord et au sud-est. Trois courts affluents parcourent le territoire communal dont l'un marque la limite nord-est et un autre la limite sud.

Le point culminant (86 m) se situe en limite ouest, près du lieu-dit le Compart. Le point le plus bas (6 / 7 m) correspond à la sortie de la Vire du territoire, au nord-ouest. La commune est urbaine sur une grande partie est et bocagère pour le reste du territoire.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 886 mm, avec 14 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Condé-sur-Vire à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 956,7 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

Typologie

Au , Agneaux est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Lô[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Lô, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[12]. Cette aire, qui regroupe 63 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (60,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,4 %), zones urbanisées (34,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (11,3 %), forêts (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), terres arables (0,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

Attestations anciennes

  • Agnels 1056/1066[16].
  • Herbertus de Agnes 1056/1066[17].
  • Agnels ~1135[18].
  • de Agnellis XIIe siècle s., ~1180[18].
  • de Agneax c.1210[18].
  • Philippus de Agnellis 1218[19].
  • ecclesi[a] Sancti Johannis de Agnellis ; dominus de Agnellis 1332[20].
  • Sanctus Johannes de Agnellis 1351/1352[21].
  • Aigneaux 1612/1636[22], 1677[23], 1713[24].
  • Agneaux 1753/1785[25], 1854[26], 1903[27].

Étymologie

Toponyme médiéval issu de l'ancien français agnel « agneau », et évoquant probablement un élevage de moutons. L'absence d'article suggère une fixation précoce (avant l'an mil). Les attestations ne sont pas suffisamment anciennes pour pouvoir affirmer que ce nom date de la période gallo-romaine (il reposerait alors sur le gallo-roman AGNELLOS), hypothèse que l'on ne peut cependant pas exclure a priori[28].

Remarque sur les graphies anciennes

  • Dans la graphie Agneax (~1210), le -x final correspond à un ancien signe abréviatif utilisé dans les manuscrits médiévaux pour noter la terminaison latine -us. Il faut donc lire °Agneaus, première trace écrite pour ce nom de la vocalisation de [l] devant consonne (évolution Agnels > °Agneaus), qui se manifeste en ancien français à partir du XIe siècle.
  • La graphie Aigneaux, que l'on rencontre aux XVIIe et XVIIIe siècles, correspond à une ancienne notation de n mouillé [n'], que nous écrivons aujourd'hui -gn- et prononçons [ɲ]. Ce son, initialement articulé comme le début du mot anglais new, a été longtemps transcrit -ign- (parfois même -igni-), d'où les anciennes graphies campaigne "campagne", Mortaigne "Mortagne", montaigne "montagne", etc. Tombées peu à peu en désuétude, elles ont été parfois mal lues, et engendré des prononciations fautives, telles que celles du nom de Michel de Montaigne, ou du mot araignée, maintenant passées dans l'usage. Tout ceci pour expliquer que l'ancienne graphie Aigneaux doit être lue a-igneaux [an'o] ou [aɲo], et non ai-gneaux.

Gentilé

Le gentilé est Agnelais.

Histoire

À l'occasion de la construction de la déviation de Saint-Lô, de nombreuses fouilles archéologiques préventives ont eu lieu. Elles ont bien mis en évidence la longue histoire d'Agneaux depuis la Préhistoire[29].

Les vestiges les plus importants concernent l'âge du bronze, avec l'installation d'une vaste nécropole et avec la découverte de plusieurs dépôts d'objets en bronze[30], puis l'époque médiévale[31].

Un Herbert Ier d'Aigneaux aurait été l'un des compagnons de Guillaume le Conquérant (liste de Falaise)[Note 5]. Un Foulque d'Aigneaux accompagna le duc de Normandie Robert Courteheuse à la première croisade (1095-1099)[33].

Julienne ou Jeanne Couillard (XVIe siècle), née à Agneaux, défendit en 1574, avec d'autres femmes, l'entrée de Saint-Lô aux troupes catholiques de Matignon qui tua 300 défenseurs, mais laissa la vie sauve à Julienne Couillard[33].

Comme Saint-Lô, la ville fut détruite en [34].

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Administration municipale

L'hôtel de ville.
Liste des maires successifs[35]
Période Identité Étiquette Qualité
1790   Pierre Mauger de Varennes   Garde du corps du roi et capitaine de cavalerie
1792 1800 Nicolas Lerouxel[33]    
1800 décembre 1813
(décès)
Claude Lecardonnel
(1737-1813)
  Ancien juge
décembre 1813 juillet 1816
(décès)
Luc Le Bas
(1762-1816)
  Médecin
juillet 1816 octobre 1830 Nicolas Denier d'Aprigny   Ancien lieutenant de la Garde du roi
octobre 1830 décembre 1831 Jean-Baptiste Douchin
(1765-1841)
  Rentier
décembre 1831 1843 Michel Putot
(1784-1856)
   
1843 mai 1872 Louis Desquesnes
(1793-1872)
   
mai 1872 mars 1892 Louis Yver
(1819-1894)
  Propriétaire du château de la Pallière
mars 1892 mai 1892
(décès)
Eugène Leboucher
(1842-1892)
   
mai 1892 juillet 1914 Prosper Marie
(1833-1916)
   
juillet 1914 décembre 1919 Victor Leroy
(1833-1939)
  Adjoint au maire (1912 → 1914)
décembre 1919 mars 1920 Louis Alibert
(1874-1928)
  Médecin
mars 1920 avril 1925 Louis Leclerc
(1873-1934)
   
mai 1925 juin 1927
(démission)
Alberich Leconte
(1861-1934)
   
juin 1927 mars 1928
(décès)
Louis Alibert
(1874-1928)
  Médecin
mai 1928 mai 1935 Louis Ledanois    
mai 1935 mars 1971 Pierre Lemonnier de Gouville
(1895-1971)
RPF Agriculteur, résistant
mars 1971 mars 2000
(démission)
Edmond Piédagnel
(1925-2012)
UDR
puis RPR
Entrepreneur de menuiserie, maire honoraire
Conseiller général de Saint-Lô-Ouest (1992 → 2004)
Vice-président du district de Saint-Lô
Suppléant du député Jean-Marie Daillet (1981 → 1986)
Président de l'Association des maires de la Manche
(1989 → 2000)
avril 2000[36] mars 2014 Alain Métral
(1940-2018)
DVD Retraité
mars 2014[37] octobre 2024[38]
(démission)
Alain Sévêque[39] DVD Retraité de la fonction publique
10e vice-président de Saint-Lô Agglo (2020 → )
oct. 2024[40] En cours Patrick Simon DVD Cadre bancaire

Le conseil municipal est composé de vingt-sept membres dont le maire et six adjoints[39].

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].

En 2021, la commune comptait 4 255 habitants[Note 6], en évolution de +5,43 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Agneaux a compté jusqu'à 4 476 habitants en 1999.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
908892953920896933934951990
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0181 038799786820875907912819
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
8328071 0541 1011 0931 0241 1781 2501 787
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 7072 3082 8193 7164 1734 4764 1634 0954 020
2015 2020 2021 - - - - - -
4 0364 2454 255------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

L'Institut Saint-Lô d'Agneaux.
Cycle Établissement public Établissement privé
Écoles Groupe scolaire Marie-Ravenel L'Institut
Collèges   L'Institut
Lycée   L'Institut
Supérieur   L'institut
Institut d'administration des entreprises.

Économie

La commune dispose d'une antenne de la chambre de commerce et d'industrie de Centre et Sud-Manche.

  • Entreprise Serrurerie et métallerie saint-loise (SMSL) : constructions métalliques et charpentes de 1945 à 2012. L'entreprise a déposé le bilan et fermé ses portes.
  • Chaudronnerie A.C.D.N., aujourd'hui C.T.I. (76 p.)[45] (groupe M ou Monteiro), depuis 2021.

Lieux et monuments

Le château de Sainte-Marie.
La chapelle Sainte-Marie.
  • Château de Sainte-Marie des XVe, XVIe – XIXe siècles. Aujourd'hui hôtel-restaurant, il est inscrit partiellement aux monuments historiques par arrêté du [46].
  • Chapelle Sainte-Marie du château ; restaurée. Son origine remonte au XIIIe siècle[33].
  • Ferme du château du XVIIe siècle, inscrite aux monuments historiques par arrêté du [47].
  • Église Saint-Jean-Baptiste d'Agneaux des XVIIe, XVIIIe – XXe siècles, dont le clocher est rasé en 1944. L'église modernisée après les bombardements de 1944, abrite notamment une chape rose du XVIIIe siècle[33],[48] classée au titre objet aux monuments historiques[49]. La verrière du XXe siècle est répertoriée à l'Inventaire général du patrimoine culturel.
  • Château de la Pallière du XIXe siècle, et son parc. L'édifice est depuis 1983 le siège de la mairie.
  • La falaise, site inscrit depuis le [50].
  • La place de la Palière, au centre de la commune.

La commune est également concernée par le périmètre de protection de plusieurs monuments saint-lois : les remparts de Saint-Lô (inscrit MH), le château de la Vaucelle (inscrit MH) et le manoir de Bosdel (inscrit MH).

Activité et manifestations

Sports

L'Agneaux football club fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et deux autres en divisions de district[51].

Jumelages

  • Drapeau de l'Autriche Bruck an der Großglocknerstraße (Autriche) depuis 1994
  • Drapeau de la Roumanie Rapoltu Mare (Roumanie) depuis 1993. Le conseil municipal à l'unanimité a voté, le 12 décembre 2019, la fin du jumelage avec Rapoltu Mare et un jumelage avec Fratault-Noi, ville située au nord-est de la Roumanie près de la frontière ukrainienne.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

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Bibliographie

  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 6.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 44.

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Population municipale 2021.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Lô comprend une ville-centre et trois communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Une famille de la conquête qui portait le nom de la commune a longtemps existé en Angleterre, et au milieu du XIXe siècle n'était pas éteinte en France[32].
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2.
  6. « Orthodromie entre Agneaux et Condé-sur-Vire », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Conde Sur Vire_sapc » (commune de Condé-sur-Vire) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Conde Sur Vire_sapc » (commune de Condé-sur-Vire) - fiche de métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur Insee, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Saint-Lô », sur Insee (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Lô », sur Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  16. Marie Fauroux, Recueil des actes des ducs de Normandie (911-1066), Mémoire de la Société des Antiquaires de Normandie XXXVI, Caen, 1961, p. 406, § 214.
  17. ibid., p. 408, § 214.
  18. a b et c François de Beaurepaire, Les Noms de communes et anciennes paroisses de la Manche, Picard, Paris, 1986, p. 65.
  19. Léopold Delisle, Recueil de jugements de l’Échiquier de Normandie au XIIIe siècle, Paris, 1864, p. 62, § 242.
  20. Pouillé du Diocèse de Coutances, 1332, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 353B, 353C
  21. Compte du Diocèse de Coutances, pour l’année 1351 ou 1352, in Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903, p. 369B
  22. Jean Bigot sieur de Sommesnil, État des paroisses des élections de Normandie, 1612/1636 [BN, ms. fr. 4620]
  23. Roles par généralités et élections des paroisses de France et de leur imposition aux tailles, 1677 [BN, cinq cents Colbert, ms. 261 f° 229 à 275].
  24. Dénombrement des généralités de 1713 [BN, ms. fr. 11385, f° 1 à 132].
  25. Carte de Cassini.
  26. V. Lavasseur, Atlas National Illustré des 86 départements et des possessions de la France, A. Combette éditeur, Paris, 1854.
  27. Auguste Longnon, Pouillés de la Province de Rouen, Recueil des Historiens de France, Paris, 1903
  28. Un toponyme normand de formation identique est Aigneaux dans le Calvados, nom de plusieurs localités dont la plus importante est un hameau situé au Désert.
  29. Dominique Cliquet D., François Fichet de Clairfontaine et Cyril Marcigny (dir.), 2000 – 5000 ans d’histoire aux portes de Saint-Lô, Archéologie préventive et aménagement du territoire, catalogue de l’exposition de Saint-Lô (Manche), Archives départementales de la Manche, Conseil général de la Manche, Saint-Lô, 64 p.
  30. Cyril Marcigny et Antoine Verney, 2005 – « La nécropole d’Agneaux et ses dépôts (Manche) », in. La Normandie à l’aube de l’histoire, les découvertes archéologiques de l’âge du Bronze 2300-800 av. J.-C., Cyril Marcigny et al. (dir.), Somogy éditions d’art, Paris, 2005, p. 118-119.
  31. Vincent Carpentier, Emmanuel Ghesquière et Cyril Marcigny, 2003 – « L’établissement rural du Haut Moyen Âge d’Agneaux « Bellevue » (Manche) », Revue archéologique de l’Ouest, no 20, p. 171-190.
  32. Charles de Gerville, Études géographiques et historiques sur le Département de la Manche, Les Éditions de la Tour Gile (réimpr. 1990) (1re éd. 1854), 284 p. (ISBN 2-87802-057-X), p. 78.
  33. a b c d et e Gautier 2014, p. 44.
  34. Delattre, 2002, p. 6.
  35. « Maires », sur agneaux-web.net (consulté le ).
  36. « Plus de trente ans de vie politique pour Alain Métral », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  37. « Élu samedi, Alain Sévêque, le nouveau maire des Agnelais », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  38. L’élection du futur maire d’Agneaux aura lieu samedi 12 octobre après la démission d’Alain Sévêque
  39. a et b Réélection 2020 : « Municipales à Agneaux. Alain Sévêque réélu pour un second mandat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  40. Patrick Simon est le nouveau maire
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. https://www.lesechos.fr/pme-regions/normandie/le-demantelement-de-manoir-industries-aiguise-lappetit-des-chaudronniers-1318419
  46. « Château Sainte-Marie », notice no PA00110316, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. Notice no PA00110316.
  48. Une chape rose visible à l'église d'Agneaux.
  49. « Chape (ornement rose) », notice no PM50001555.
  50. [PDF] « Site de la Direction régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement de Basse-Normandie - Fiche 50044 : Falaise d'Agneaux » (consulté le ).
  51. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Agneaux FC » (consulté le ).
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