Ayant repris le commerce familial après des études limitées à l'enseignement primaire, il est, après la première guerre mondiale, il est président du Syndicat des marchands de volailles du Gâtinais et président du Syndicat national des négociants d’œufs.
Il entre en politique en 1935 et est, coup sur coup, élu maire de Montereau à la tête d'une liste de droite, puis, à la faveur d'une partielle provoquée par l'élection au Sénat de Jacques-Louis Dumesnil, député de Seine-et-Marne. Siégeant parmi les non-inscrit, il est réélu l'année suivante, faisant campagne contre le Front populaire et pour la défense du franc et des commerçants.