Le il est élu Supérieur général de la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice, poste qu'il conserve jusqu'en [1].
Le il est nommé évêque de Tulle et le reste jusqu’au . Il est alors nommé évêque émérite de Tulle.
Jean-Baptiste Brunon est père conciliaire pour la dernière session du concile Vatican II.
Dès 1976, il introduit la cause de béatification d'Edmond Michelet, ancien ministre, pour son action à Brive-la-Gaillarde en faveur des Juifs persécutés par les nazis et sa déportation à Dachau où son comportement est exemplaire.
Visitant le Brésil dans les années 1979-1980, Jean-Baptiste Brunon est marqué par les expériences de vie communautaire.
De 1978 à 1985, il est évêque protecteur de la Fédération sportive et culturelle de France (FSCF)[2]. Dans le cadre de cette fonction, il présente en 1984 à Rome, pour l'assentiment pontifical, l'ouvrage définissant les orientations de cette fédération catholique[3].
Références
↑« Archives », sur la-croix.com, La Croix, (consulté le )
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Jean-Marie Jouaret (préf. Gérard Cholvy), Petite histoire partielle et partiale de la Fédération sportive et culturelle de France (1948-1998), t. 1, Paris, FSCF (à compte d’auteur, imp. Déja-Glmc), , 646 p. (ISBN2-9528387-0-4, BNF41363915).