Pendant la Seconde Guerre mondiale, sous l'occupation allemande, la ligne de démarcation coupe en deux un village du Jura. Un capitaine de l'armée française, le comte Pierre de Damville, prisonnier de guerre, blessé en 1940, libéré par les Allemands, revient chez lui. Mais son château est utilisé par l'occupant comme siège de la Kommandantur locale. Pierre est résigné à devoir cohabiter avec les Allemands, dans l'inaction, ce que refuse courageusement sa femme, Mary, anglaise naturalisée française par son mariage, qui a rejoint les rangs de la Résistance.
Mais la Gestapo intervient dans la région à la recherche de deux parachutistes : un agent secret anglais et un agent de la France libre. Les résistants locaux s'emploient à leur faire passer la ligne de démarcation, tandis qu'ils cherchent à exécuter un passeur véreux ayant abandonné une famille juive aux nazis.
Erreur : Les aubes blanches des enfants de chœur, n'ont fait leur apparition, qu'à la fin des années 50, dans les années 40, ils portaient des soutanelles noires...
Voir aussi
Bibliographie
Christian Hermelin, « La Ligne de démarcation », Téléciné no 131, Paris, Fédération des Loisirs et Culture Cinématographique (FLECC), , p. 54, (ISSN0049-3287)