Le collectif fut créé lors d’une soirée dans un chalet et initialement nommé Les marmottes exhibitionnistes[2].
Le dénominateur commun unissant les auteurs du collectif est l'importance accordée à l'imaginaire dans leurs œuvres respectives, revendiquant l’héritage d’auteurs tels que Alexandre Dumas pour redonner sa place à la littérature liée à l’imaginaire[3], et selon Henri Lœvenbruck, « réhabiliter le genre littéraire un peu décrié du thriller »[4]. Les membres de la ligue de l’imaginaire estiment que la littérature de genre est celle qui parle le mieux des problématiques du quotidien[5].
En 2013, La Ligue de l'Imaginaire inaugure un nouveau prix littéraire : le Prix du Boulevard de l'Imaginaire, dont la première édition s'est tenue fin au Grand Rex. Le trophée, offert conjointement par la Ligue ainsi que par le musée Grévin, est un moule en cire de la main de Victor Hugo, (l'auteur avait inauguré l'ouverture du musée Grévin en 1882). La première édition du Prix du Boulevard de l'Imaginaire, récompense alors Paul Colize, pour son livre Un long moment de silence[20].
En 2017, le prix change de nom et devient le Prix La Ligue de l'Imaginaire - Cultura[21].
Palmarès
2013 : Paul Colize, Un long moment de silence (la Manufacture de livres, 2013)[22]
2014 : Ian Manook, Yeruldelgger (Albin Michel, 2013)
Opération organisée pendant le confinement par la Ligue de l’Imaginaire, le festival Lisle noir et Cultura. Chaque jour un auteur de roman noir étant invité à écrire sa version du jour d’après le confinement.
Le Pire des Noëls : nouvelles inédites, anthologie au profit de l'association Le Rire médecin. Paris : Le Livre de Poche Policier n° 37838, 11/2024, 283 p. (ISBN978-2-253-25307-5)
Notes et références
↑ abc et dAlice Develey, « La ligue de l’imaginaire intègre quatre écrivains », Le Figaro, no 24703, , LIT6 (lire en ligne)