Les fenêtres possèdent des frontons variés d'où semblent se pencher des bustes de femmes[1]. Les chambranles des fenêtres sont ornés de sirènes sculptées en ronde-bosse, dont les têtes soutiennent un fronton échancré[2].
Historique
Logis d'un gentilhomme au XVIIIe siècle, le romancier et académicienAndré Theuriet décrit l'édifice dans un de ses romans et le baptise Maison des deux Barbeaux[2].
La façade sur rue, la toiture, et le vantail de la porte sont classés aux monuments historiques le [3].
Notes et références
↑Jean-Pierre Harbulot (introduction) et al., Bar-le-Duc : Ville d'art et d'histoire, Bar-le-Duc, Serge Domini, , 160 p. (ISBN2-912645-57-3), p. 155
↑ a et bJean-Luc Flohic (direction) et al., Les patrimoines des communes de la Meuse, t. 1, Paris, Flohic Éditions, coll. « Les patrimoines des communes de France », , 608 p. (ISBN2-84234-0744, BNF37193403), « Bar-le-Duc », p. 94-95