Il a deux sœurs, l'une avocate et l'autre journaliste[2]. Leur père, juriste et possédant un cabinet à Tourtemagne, est membre du Parti démocrate-chrétien, vice-président de Tourtemagne et député suppléant[2].
Il fait son stage d'avocat dans le cabinet Homburger(de) à Zurich. Il obtient son brevet d'avocat en 2009 à Zurich et celui de notaire en 2012 en Valais[2]. Il publie en 2011 sa thèse de doctorat consacrée à la procédure d'appel dans le code de procédure civile suisse[2],[3].
Il est avocat et notaire à Brigue[4] depuis 2012[2]. Il donne également des cours de droit à l'institut universitaire UniDistance Suisse[2].
Candidat aux élections cantonales de 2013, il est élu député pour le district de Brigue[6] à 36 voix près. Le Haut-Valais ayant bénéficié de 3 sièges de trop suite à une erreur de répartition, il n'aurait en réalité pas dû être élu[7]. Il devient chef du groupe UDC en 2017[4], puis candidat officiel de son parti à la deuxième vice-présidence du parlement cantonal en 2014, mais se voit préférer l'UDC du Bas-Valais Edmund Perruchoud par 83 voix contre 38[8].
Graber est également secrétaire général de l’UDC du Haut-Valais entre 2010 et 2020[4] et membre du Conseil général (législatif) de la commune de Brigue-Glis depuis 2019[1].
↑Dimitri Mathey, « Les débuts en politique du conseiller national UDC Michael Graber reposent sur des calculs biaisés », Le Nouvelliste, (lire en ligne, consulté le )
↑(de) Herold Bieler, « Ein bitterer Vormittag für Graber und die SVP Oberwallis », Walliser Bote, , p. 3 (lire en ligne [PDF])
↑« Nouveau Conseiller national: ‹ Cela fait plaisir mais aujourd’hui, c’est l’élection de Franz Ruppen › Michael Graber », Canal9, (lire en ligne)