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Il est un ancien député socialiste des Bouches-du-Rhône il est conseiller municipal de Marseille jusqu'en 2014. De 2008 à 2014, il est adjoint PS au maire Jean-Claude Gaudin pour contrer Jean-Noël Guérini candidat à Marseille. Il est président fondateur de Convention citoyenne et membre de la Gauche moderne et républicaine en 2012.
1981-1993 : député socialiste des Bouches-du-Rhône
Élu des 1er et 7e arrondissements de Marseille. Conseiller communautaire
Conseiller municipal de Marseille
En 1983, il est élu pour la première fois conseiller municipal de Marseille. Il est membre du Parti Socialiste (PS), et est élu sur les listes d'union de la gauche menées par Gaston Defferre, alors maire de Marseille.
1983-86 : Membre de la Majorité de Gaston Defferre
2001-2008 : Affaire Tahar Rahmani
En 2001, il est tête de liste pour le Parti Socialiste lors des élections municipales dans le 1er secteur (1er et 7ème arrondissements). Il se fait alors remarquer par le choix assumé de faire réélire Tahar Rahmani. Tahar Rahmani est conseiller municipal depuis 1995, élu sur les listes du Parti Socialiste. À cette époque, c'est le seul conseiller municipal de Marseille originaire du Maghreb. Or, pour des raisons obscures, le PS ne lui propose pas une position éligible sur ses listes aux élections municipales de 2001 dans son secteur (le 7ème, qui correspond aux 13ème et 14ème arrondissements). Philippe Sanmarco prend donc la décision de placer Tahar Rahmani en position éligible sur sa liste (dans le 1er secteur). Grâce à son intervention, Tahar Rahmani a été élu conseiller municipal de Marseille de 2001 à 2008[2].
2008-2014 : La tentation Gaudin
En 2008, Philippe San Marco est troisième de la liste de Jean-Claude Gaudin dans le 1er secteur (1er et 7ème arrondissements)[3]. Il justifie ce choix personnel pour empêcher Jean-Noël Guérini, candidat du Parti Socialiste, de devenir maire de Marseille[4]. De son côté, Jean-Claude Gaudin considère Philippe San Marco comme une "ouverture politique" qu'il avait promise pour ce mandat. Philippe San Marco ne rentre pas au conseil municipal, la liste de Jean-Claude Gaudin n'obtenant que 2 élus dans ce secteur. Il siège toutefois au conseil d'arrondissements, mais il a été rapidement déçu de Jean-Claude Gaudin[5]
Résultats électoraux
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Source : Données du CDSP et le Monde du 7 juin 1986, p. 15
Autres responsabilités publiques
Vice-président de l'agence de coopération internationale et le développement local en Méditerranée (ACIM)
Vice-président de l'association Finances Méditerranée
membre du comité permanent pour le partenariat euroméditerranéen des pouvoirs locaux et régionaux (COPPEM)
1983-1987 : président de l'OPAC des Bouches-du-Rhône
1983-1990 : président de l'association pour le développement des relations intercommunautaires à Marseille (ADRIM - structure locale d'animation sociale et d'insertion)
Affaire Urba
Philippe Sanmarco a été condamné dans le cadre du volet marseillais de l'Affaire Urba (système de financement occulte du Parti socialiste de 1987 à 1989)
Ouvrages et rapports
1988 : « Marseille, l’état du futur » (Edisud)
1991 : « L’État et la politique de la ville » (CEPIIS)
1992 : Rapport d’enquête sur la gestion du Fonds d’action sociale (Assemblée nationale)
1993 : Rapport de la loi relative à la maîtrise des dépenses de santé (Assemblée nationale)
2000 : « Marseille capitale » (Edisud)
2012 : « Sur les flancs du Mont Pellegrino » (Mon petit éditeur)
2012 : « Livret militaire ? » (Mon petit éditeur)
2014 : « Rendez la Terre » (Mon petit éditeur)
2016 : « Sortir de l'impasse postcoloniale » (Mon petit éditeur)
2021; "L'Afrique noire, un rêve français: dans les pas de Paul Vazeilles, broussard de grande brousse" (Éditions Gaussen)