Par la suite, Bayreuth, Hesse-Cassel, Brandebourg, Ulm, Strasbourg et Nuremberg rejoignent l'Union qui s'oppose aux états catholiquesrhénans et à la Bavière. Au traité de Xanten en 1614, l'Union évangélique permet au Brandebourg des gains territoriaux en Rhénanie. Cependant, par la suite, l'Union, affaiblie par son caractère calviniste et l'attentisme de la Saxe, perd de son influence. Le fils de l'électeur palatin, Frédéric V du Palatinat reprend la tête de l'Union à partir de 1619. Le , il est mis au ban de l’empire, et l'Union protestante est officiellement dissoute le 24 mai[2].