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Vouël se situe dans une plaine, dont une partie des sols sont de calcaire, craie et sables tertiaires[1]. Elle a été construite le long d'une voie romaine, dite Chaussée Brunehaut , allant de Soissons à Saint-Quentin. La « Butte de Vouël » est une curiosité locale, un amas de terre artificiel recouverte de pommiers. Il s'agirait d'un poste d'observation datant de l'époque romaine, faisant partie d'un ensemble de 5 buttes similaires. La commune avait une superficie de 3,10 km2[2]
Histoire
Le domaine de Vouël était initialement associé à celui de Chauny. Propriété de Charles 1er, Duc d'Orléans, les deux domaines sont transmis à Philippe le Bon, Duc de Bourgogne en 1440, dans le cadre du paiement de la rançon de Charles 1er aux Anglais. Il passe ensuite dans plusieurs mains : il revient à la famille d'Orléans, puis en 1557 à Charles de Barbançon, vers 1650, à Georges de Héricourt, puis au Duc d'Aumont[1].
Vouël est une ancienne commune de l'Aisne. Depuis le , elle est une commune associée à Tergnier donc dissoute par l'arrêté préfectoral du . Elle portait avant son rattachement, le code INSEE abrégé 02825
Administration
Maires délégués
Vouël étant une commune associée, elle dispose d'un maire délégué.
↑Jacques Pannier, « L' « OPINIATRETÉ » D'UNE PETITE ÉGLISE: Notes historiques sur Annois et Flavy-le-Martel (1560-1921) », Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français (1903-), vol. 71, no 4, , p. 193–279 (DOI10.2307/24288720, lire en ligne, consulté le )
↑O. Douen, « LA RÉFORME EN PICARDIE: DEPUIS LES PREMIERS TEMPS JUSQU'A NOS JOURS, PARTICULIÈREMENT DANS LE VERMANDOIS, LA THIÉRACHE, LE LAONNAIS, LE NOYONNAIS ET LE SOISSONNAIS, FORMANT AUJOURD'HUI LE DÉPARTEMENT DE L'AISNE. 1525-1853 », Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français (1852-1865), vol. 8, nos 8/9, , p. 385–476 (DOI10.2307/24281301, lire en ligne, consulté le )