La date de fin de son contrat est inconnue, les registres japonais notent qu'il y eut un renouvellement mais il n'est pas listé dans le répertoire de 1883. L'hypothèse du renouvellement est également soutenue par la présomption qu'il enseigna occasionnellement à l'université impériale de Tokyo en remplacement de Curt Netto. Il existe une photographie de lui avec une légende le décrivant comme professeur.
Après son retour en Allemagne, il devient actionnaire et directeur de la télécabine de Kerkerbach-Dingle. On suppose qu'il ait pu acheter des parts de cette entreprise, fondée en 1885 juste après son retour du Japon, grâce à l'argent gagné en tant que conseiller étranger.