Domont est une commune périurbaine d'Île-de-France située sur le versant nord-est du plateau de la forêt de Montmorency et qui domine la plaine de France. Elle se trouve à une vingtaine de kilomètres au nord de Paris, à 17 km à l'est de Pontoise et à 48 km au sud de Beauvais.
La superficie du territoire communal est de 833 ha. Son altitude varie de 96 m NGF à la gare de Domont à 194 m au sommet du fort[1].
La commune est traversée par le Petit Rû de Vaux, le Rû de Poncelles, le Ruisseau des Quarante sous, affluents du Petit Rosne.
Plusieurs étangs (privés) sont présents dans la ville[3] : l’étang du Beusillon, l'étang d’Ombreval[4] ouvert uniquement aux pécheurs et les étangs du golf de Domont Montmorency.
On compte également plusieurs fontaines et bornes fontaines : place de la République[5], disparue avec le temps, la borne fontaine a été réhabilitée en 2016, la fontaine du Beursillon ou Berzilion[6], se trouvant à côté du tennis de Domont, la fontaine Jaune ou fontaine Prieur[7] construite en 1790 et restaurée en 1914 par Louis Breton, ainsi que la fontaine de la Boue', aujourd'hui disparue, seul son emplacement dans le mur est visible.
La place du Gué était anciennement un lave-sabots et l'on comptait deux lavoirs à Domont, mais seul le lavoir de Blémur, situé dans une propriété privée, existe toujours.
Deux châteaux d'eau se trouvent dans la commune, mais un seul est en fonctionnement : Le château d'eau du Haut Domont, se trouvant dans la forêt de Montmorency, non loin du fort de Domont et celui rue Parmentier, dans le Bas Domont), qui alimentait le réseau d'eau potable par captage . En 2012 le réseau du Bas et du Haut Domont ont été raccordés.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 688 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bonneuil-en-France à 10 km à vol d'oiseau[10], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 616,3 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
Domont, ancien village agricole, a vu son développement favorisé par la création de la gare en 1877.
Dans les années 1960 et 1970 sont édifiés de petits immeubles collectifs et HLM ; la population double entre 1958 et 1977 et dépasse alors les 10 000 habitants.
L'urbanisation se poursuit durant les années 1980 et 1990 par la construction de « nouveaux villages », petits collectifs et lotissements pavillonnaires contemporains, comblant finalement la plupart des espaces libres.
Typologie
Au , Domont est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[16]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].
Toponymie
Le lieu était désigné Dolomons, Domontium, Domuntum, Domons[19], Doomons en 1119[20], Daumont[19].
La première partie du nom de la commune est difficile à interpréter. La seconde est claire, "mont", qui provient du latin "mons", et c'est en accord avec la topographie locale.
Selon Dauzat et Rostaing, Domont provient de l'anthroponyme germanique "Dodo" et du latin "mons", d'après la forme de 1119 "Doomons"[21].
F. et J. Bousquet citent "Doomunte" comme forme de 1119, mais ont trouvé "Oomons" en 1098 et "Oomont" en 1099 ; ce qui n'a pas reçu d'explication. Ils citent les autres hypothèses proposées sans base scientifique comme "dos du mont"[22].
Il a été proposé comme origine "Dool Monte", réminiscence d'un monument druidique[22][réf. nécessaire]. Il a bien existé un mégalithe, disparu, au 1, rue Alphonse-Provost, appelé "pierre des druides" ; les dolmens et menhirs sont d'ailleurs très antérieurs à l'époque les druides[22]. En breton, "dol" est la forme mutée de "tol" ("daol" et "taol" selon l'orthographe unifiée) et signifie table, dérivé du latin "tabula" il n'est donc pas d'origine celtique et n'est pas en accord avec la phonétique de la langue des druides (le gaulois)[23],[24].
Plus sérieuse, l'étymologie germanique "dal mund" (porte de la vallée) s'accorde mal avec les formes anciennes du nom, rien ne l'étaye[22]. On trouve "dal" au sens de "vallée" en néerlandais, vieux saxon, "dals" en gotique, "dalr" en vieux norois, etc. "mund" signifiant "bouche" en vieux haut allemand, vieux saxon, avec variante néerlandaise "mond", gotique "munths" etc.[25]
Histoire
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Domont était un village de bûcherons et de paysans depuis le Haut Moyen Âge.
Il est attesté en 1105, ou 1108, dans un acte où Rudolphe le Bel[Note 4] seigneur de Domont, donne l'abbaye bénédictine de Domont au prieuré Saint-Martin-des-Champs à Paris. En 1149 une bulle du pape Calixte II en confirme la donation. Il n'en reste plus de nos jours que la chapelle monastique devenue paroisse sous le patronage de sainte Madeleine.
Durant les siècles qui suivent, le village est la seigneurie de différentes familles : les Montmorency, puis les Villiers, les Billy et les Champluisant.
L'ouverture du chemin de fer et l'inauguration de la gare de Domont en 1877 projettent le village dans la modernité. De nombreux vergers sont créés, donnant bientôt à la commune le surnom de « Domont-les-Poires », des briqueteries sont édifiées sur le plateau limoneux à proximité de la gare. Le développement du village et la proximité de la capitale grâce au train amènent les débuts d'une urbanisation pavillonnaire entre le bourg et la gare dès les années 1920.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine, formant le la communauté d'agglomération Plaine Vallée dont est désormais membre la commune.
Tendances politiques
Au premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-d'Oise, la liste UMP du maire sortant Jérôme Chartier obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 4 428 voix (78,86 %, 30 conseillers municipaux élus dont 9 communautaires), battant très largement la liste PS menée par Sophie Bureau (1 187 voix, 21,13 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire). Lors de ce scrutin, 40,49 % des électeurs se sont abstenus[31].
Au premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise, seule la liste DVD du maire sortant Frédéric Bourdin — qui avait succédé à Jérôme Chartier en 2016 — était candidate et a donc obtenu la totalité des 1 986 suffrages exprimés, permettant l'élection de tous les 33 candidats dont 5 ont été également élus conseillers communautaires. Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 76,96 % des électeurs se sont abstenus et 12,28 des votants ont déposé un bulletin blanc ou nul dans l'urne[32].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[40],[Note 5].
En 2021, la commune comptait 16 078 habitants[Note 6], en évolution de +4,79 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
le salon du jouet de collection et de la bande dessinée (mois de février) ;
le carnaval de Domont (mois de mars) ;
la brocante de printemps (mois de juin) ;
le festival de l'été (mois de juin et juillet) ;
le feu d'artifice du ;
le forum des associations (mois de septembre) ;
la foire d'automne de Domont (mois de septembre) ;
le festival international du cirque du Val-d’Oise (mois d'octobre), créé en 1999 dans le cadre de la foire de Domont, dont une édition était consacrée au cirque[45] ;
Le poste de la police municipale est situé au 66, rue du Chemin-Vert. Il comprend 12 fonctionnaires[Quand ?] placés sous l'autorité d'un chef de service : 7 agents de police municipale et 5 agents de surveillance de la voie publique (ASVP).
Le centre de secours de Domont défend les communes suivantes[47] : Attainville, Baillet-en-France, Bouffémont, Domont, Ézanville, Moisselles, Montsoult, Piscop, Villaine-Sous-Bois.
Économie
Outre son tissu commercial, la ville dispose d'un marché les jeudis et dimanches.
La ville de Domont accueille sur 233 hectares[réf. nécessaire] une zone d'activité artisanale et industrielle diversifiée[réf. nécessaire].
Île-de-France Mobilités a décidé implantation d'un centre opérationnel bus à Domont, dans le cadre de la délégation de service public 2021-2028 par les groupes Transdev, Keolis et Ratp Dev pour l'exploitation de 13 lignes de bus représentant environ 3,2 millions de kilomètres commerciaux en 2020[48].
L'église est de plan cruciforme à déambulatoire (sans chapelles rayonnantes), et l'élévation porte sur trois niveaux avec un faux triforium dans la nef et l'abside, et un étage de fenêtres hautes. La partie sud-ouest du déambulatoire a été reconstruite à la période flamboyante, et des arcs-boutants ont été construits pour épauler le mur haut de l'abside. Leurs culées sont ornées de pinacles plaqués. La chapelle d'axe à l'extrémité orientale du chevet est rebâtie au milieu du XIXe siècle. Quant au transept, il se compose initialement de deux croisillons carrés, deux fois plus larges que les bas-côtés, et cantonnés aux angles par des énormes contreforts à ressauts.
Le croisillon sud est resté intact avec sa façade à pignon, alors que le croisillon nord, menaçant ruine tout comme le clocher dès la fin de l'Ancien Régime, est rebâti de manière simplifiée vers le milieu du XIXe siècle pour devenir la chapelle Sainte-Marie-Madeleine. Perdant une partie de sa superficie d'origine, il se retrouve recouvert d'un toit en appentis, alors qu'un pignon en briques rouges est construit à l'intersection entre la croisée du transept et le bras nord. L'harmonie de la façade septentrionale est ainsi rompue. Le clocher se dresse à l'angle entre le croisillon nord et la nef ; il ne présente pas un style particulier et est ajouré sur son niveau supérieur par une seule baie abat-son plein cintre par face.
La courte flèche en charpente est couverte d'ardoise. La nef se compose de trois travées et demi et d'autant de travées pour les bas-côtés : ruinée peu avant la Révolution française, elle est reconstituée de toutes pièces au milieu du XIXe siècle. La façade occidentale avec un pignon en haut est très simple ; elle laisse apparaître les arcs-boutants de la nef au-dessus des toits plats des bas-côtés, percés de baies en tiers-point à lancette simple vers l'ouest également. La porte rectangulaire est surmonté par un arc de décharge au tympan nu. Un grand oculus à huit lobes, entouré de deux tores, éclaire la nef par le haut[50],[51].
On peut également noter:
La mairie occupe le château du Prieuré, rue de la Mairie : Il s'agit d'un grand hôtel particulier construit entre 1870 et 1880 pour Sigismond Glandaz, natif de Domont, premier président à la Cour de cassation et président de la Chambre des avoués. Bien qu'édifié dans une zone alors peu urbanisé, le « château » s'élève sur quatre niveaux pour le corps central de trois niveaux, et trois niveaux pour les ailes latérales de deux travées. L'ensemble est couvert de toits à la Mansart, mais ne reflète que vaguement le style néoclassique, avec un petit fronton dominant la travée centrale et des esquisses de pilastres, mais des proportions inhabituelles. La commune rachète la grande demeure dès 1946 et y installe la mairie six ans plus tard[51].
L'ancienne mairie, rue de la Mairie, qui accueille désormais la maison des associations . De petites dimensions, elle se distingue des maisons environnantes par son architecture soignée dans le style caractéristique de la Troisième République, et l'avant-corps central surmonté par un fronton avec horloge. L'école des filles se situait dans une annexe, alors que l'école des garçons se trouvait dans un bâtiment au fond de la cour. En effet, le portail de la cour porte toujours l'inscription gravée « école des garçons »[51].
Croix-Martin, qui porte l'inscription « HO CRUX AV - SPES UNICA MUNDI - SALUS ET GLORIA 1861 » (oh croix je te salue, seul espoir du monde, qui donne le secours et la gloire. 1861).
Le château d'Ombreval : Ce surnom est donné au logis d'une ferme d'une certaine importance, de la forme d'une barre d'un seul étage avec un toit à deux croupes peu élevé. La façade sur sept travées présente au rez-de-chaussée une alternance entre portes-fenêtres et fenêtres, et une large frise de têtes et autres éléments sculptés en dessous de la gouttière. Le propriétaire du manoir pendant les années 1920 étant collectionneur de sculptures, l'on voit des fragments de sculptures appliqués sur les trumeaux de l'étage, de la manière de bas-reliefs. Le nom du domaine remonte à un fief existant dès le Moyen Âge et relevant de la seigneurie de Domont[51].
L'ancien théâtre puis cinéma, allée Sainte-Thérèse, construit au XXe siècle par un patron de briqueterie passionné de théâtre, Robert Héral aidé de ses ouvriers, ce qui explique les façades d'un style purement utilitaire utilisé pour les bâtiments industriels de l'époque. La scène est assez grande pour recevoir les décors du théâtre du Châtelet[51]. Le cinéma ne comporte qu'une salle de 228 places et projette des films en VF et VO. En 1924 Robert Héral fait don du bâtiment à la paroisse de Domont dans le but d'y organiser des activités sportives et culturelles Le cinéma est donc rattaché au diocèse de Pontoise. En 1954, le bâtiment est transformé en cinémas. En , Le cinéma l’Ermitage est la première salle d’Europe à être dotée du système DTS X[52]. En , la ville décide de racheter le bâtiment à la suite d'une annonce d’intention de vente du Diocèse[53],[54].
La chapelle Saint-Pie-X, construite au milieu d'un champ par les ouvriers des briqueteries pendant leur temps libre et achevée en 1954 et dénommée en l'honneur de la canonisation du pape Pie X, intervenue cette même année. La chapelle, toute en brique, s'insère donc parfaitement dans l'histoire de Domont.
Le château de la Chancellerie.
Le fort de Domont(en), au nord du vieux village, à cheval sur la commune voisine de Piscop : il est construit entre 1874 et 1878, sous la direction du futur maréchal Joffre et du capitaine Alfred Louis Adrien Delanne dans le cadre du Système Séré de Rivières. Le fort constitue un élément de la ligne de défense autour de la capitale, dont la création est motivée par la Guerre franco-allemande de 1870. Le fort de Domont est l'un des plus importants de cette ligne, dit de première classe, occupant 14 ha au sol et pouvant occuper 1 175 hommes, dont six cents prisonniers. Pendant la Seconde Guerre mondiale, des troupes allemandes avançant vers Épinay-Champlâtreux sont apparemment attaquées depuis le fort, ce qui ne l'empêche pas d'être occupé par des Allemands dès la même année. Le fort est désaffecté après la guerre[51].
Le parc des Coquelicots, aménagé sur huit hectares, il offre d’agréables promenades, un terrain sportif, un terrain de pétanque, un parcours santé[57]... Il accueille chaque année le festival international du cirque du Val-d’Oise[58] et sert de liaison douce entre le haut et le bas Domont, ainsi qu'entre la gare et la rue Auguste-et-André-Rouzée. En 2010, la ville a planté une soixantaine d'arbres fruitiers et est passée à zéro insecticide[59].
Le parc de l’Hôtel de Ville, rattaché à la mairie, celui-ci dispose d'une aire de jeu pour enfants et d'un parking[57].
Mémorial « Les Quatre Chênes » situé route des Fusillés . La ville de Domont rend hommage aux 23 résistants et otages fusillés par les Allemands en au mois de juillet de chaque année.
Stèle à la mémoire du maréchal Joffre situé place du Maréchal-Joffre.
Ettore Molinaro (1906-2001), coureur cycliste italien mort à Domont.
Robert Goute (1919-2014), issu d'une famille dévouée au tambour depuis plusieurs générations. Il dirigea la société locale de musique, Les Bleuets de Domont et a été le responsable de la partie tambour du défilé du à Paris lors des fêtes du Bicentenaire de la Révolution. Il est inhumé dans le tombeau familial du cimetière de Domont.
Suzanne Citron (1922-2018), historienne et maire-adjointe de Domont de 1977 à 1983.
Bernard Buffet (1928-1999), peintre. Il achète la propriété de Manimes à Domont, qu'il quittera l'année suivante.
Les armes de Domont se blasonnent ainsi : D'or au mont de sinople mouvant de la pointe, au chef d'azur chargé d'un dextrochère d'argent paré d'un brassard d'hermine brochant sur la partition
François Bousquet et Jacques Bousquet, Domont, histoire d'un village en Île-de-France, Bousquet, Mairie de Domont, , 439 p.
Gilberte Herlin Jean Lecuir Victor Porcher , Promenade dans Domont hier, aujourd'hui, Édition du Valhermeil, 1994, 240 p.
Jean et Marie-France Lecuir et Vanessa Manceron, Domont à la belle Époque, Le témoignage de l'instituteur Joseph Nagel, 1899, Édition du Valhermeil, 1996, 46 p.
Marie-France Lecuir, La guerre à Domont ( 1939-1945 ) Association connaitre Domont, 2003, 79 p.
Marie-France Lecuir, Domont les briques Les origines (1860-1900) Association connaitre Domont, 2001, 62 p.
Daniel Baduel, Briqueteries et tuileries disparue du Val-d'Oise, p. 74 à 97, Syndicat d'initiative de St-Martin-du-Tertre et le Conseil Général du Val d'Oise, 2002, 298 p
SIAH, Groult et Petit Rosne, empreintes et renaissance de deux rivières du Val d'Oise, p. 88 à 93, Édition SIAH, 2017, 152 p.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑« Etang d'Ombreval », sur Plaine Vallée Tourisme - Lac d'Enghien et forêt de Montmorency (consulté le ).
↑François Vuillemet Webmaster du site Domont et sa région Val d Oise, « Domont Histoire / PlaceRepublique », sur Domont et sa région - Galerie (consulté le ).
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↑Alexandre Boucher, « Domont : première prothèse de cheville posée en ambulatoire : C’est une première en Ile-de-France. La clinique dédiée aux hospitalisations de moins de 12 heures pose désormais des prothèses de cheville à ses patients », Le Parisien, édition du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Val-d'Oise. Bientôt un centre opérationnel de bus à Domont : Île-de-France Mobilités a voté la désignation des délégataires pour l'exploitation de 13 lignes de bus. Dans le Val-d'Oise un centre opérationnel verra le jour à Domon », La Gazette du Val-d'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
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↑Fabrice Cahen, « Val-d'Oise. Le cinéma Ermitage à Domont, appelé à disparaître : Le cinéma presque centenaire de Domont (Val-d'Oise) risque d'être détruit. La municipalité veut en reconstruire un autre. Bien du diocèse, sa vente fait aussi polémique », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )« Monseigneur Stanislas Lalanne, évêque de Pontoise, (...) a répondu en précisant la démarche du diocèse. « J’ai décidé, dans l’optique d’une gestion en bon père de famille, de finaliser la vente du cinéma avec la commune de Domont, pour un montant de 775 000 €. Ce montant est le fruit d’âpres négociations. Il représente une belle plus-value depuis l’évaluation de ce bien, en 2009, à 630 000 € ».