Le , les gouvernements tchèque et slovaque s'entendent pour que l'Assemblée fédérale(cs) prononce formellement la partition de la République fédérale en deux États souverains pour le 1er janvier 1993 en adoptant deux lois spécifiques, dont l'une porte sur le partage du patrimoine de la Fédération[4]. À partir de cette date, le gouvernement Klaus I devient celui de la République tchèque indépendante.
↑« TCHÉCOSLOVAQUIE : artisan de la réforme économique radicale M. Vaclav Klaus va tenter de former le nouveau gouvernement », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑« TCHECOSLOVAQUIE : les négociations entre Tchèques et Slovaques Le refus de M. Klaus de diriger le gouvernement fédéral pourrait accélérer l'éclatement du pays », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑« M. Klaus et M. Meciar ont annoncé ensemble un accord sur la partition de la Tchécoslovaquie », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑« TCHÉCOSLOVAQUIE : après l'accord entre M. Klaus et M. Meciar La Fédération cessera d'exister le 31 décembre », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑Martin Plichta, « L'intervention de M. Havel a été décisive pour l'investiture du gouvernement tchèque », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).