Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Elle étudie l'anglais au Somerville College, Université d'Oxford, où elle suit les classes de CS Lewis et JRR Tolkien.[2] Son œuvre rassemble un grand nombre de poèmes, pièces de théâtre, biographies, nouvelles et essais[3], en plus de ses traductions.
Elle apprend l'espéranto en 1949[3] et marque nettement la littérature et la poésie de cette langue[4]. Sa biographie de Ludovic Zamenhof, créateur de l'espéranto vers 1887, fait autorité dans la communauté espéranto d'après-guerre[5].
Marjorie Boulton a été présidente de l'Association des amateurs de chats “kat-amikaro” espérantophones[3] et de l'Oxford and District Esperanto Society (ODES). Elle fut également membre de l'Académie d'espéranto[5].
Chargée d'émotion et socialement engagée, l'œuvre de Marjorie Boulton laisse transparaître les tourments de l'auteur sans être dénuée d'humour. Elle reflète un mélange d'humanisme et d'idéalisme[6].
Ne nur leteroj al plum-amikoj: Esperanta literaturo – fenomeno unika (Pas seulement des lettres à des amis correspondants : la littérature espérantiste - un phénomène unique, essai, 1984)