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Noizay

Noizay
Noizay
Le château.
Blason de Noizay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Loches
Intercommunalité Communauté de communes du Val d'Amboise
Maire
Mandat
Pierre Morin
2020-2026
Code postal 37210
Code commune 37171
Démographie
Gentilé Noizéens
Population
municipale
1 125 hab. (2021 en évolution de −2,17 % par rapport à 2015)
Densité 64 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 25′ 20″ nord, 0° 53′ 33″ est
Altitude Min. 48 m
Max. 114 m
Superficie 17,47 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Amboise
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Noizay
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Noizay
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Noizay
Liens
Site web noizay.net/

Noizay est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Géographie

Situation et paysages

Noizay est un village rural de Touraine de 1 747 hectares qui est situé dans le département d'Indre-et-Loire (37), à 230 km de Paris, entre Tours (à 20 km) et Amboise (10 km).

Il s'étend entre la Loire, au sud, la plaine céréalière et maraîchère traversée par la Cisse, et les coteaux consacrés au vignoble de l'AOC Vouvray.

Hydrographie

Réseau hydrographique de Noizay.

La commune est longée sur son flanc sud par la Loire (3,032 km) et traversée par la Cisse (5,058 km). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 18,37 km, comprend en outre cinq petits cours d'eau[1],[2].

Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne[3], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [aval pont Mirabeau]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 62 ans pour cette station) varie de 112 m3/s au mois d'août à 622 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 3 050 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevée a été de 5,78 m ce même jour[4],[5]. La hauteur maximale historique a été atteinte le 3 juin 1856 avec une hauteur inconnue mais supérieure à 6,20 m[6]. Sur le plan piscicole, la Loire est également classée en deuxième catégorie piscicole[7].

La Cisse, d'une longueur totale de 87,7 km, prend sa source à Rhodon[8] en Loir-et-Cher, et se jette dans la Loire à Vouvray, après avoir traversé 28 communes[9]. La station hydrométrique de Nazelles-Négron permet de caractériser les paramètres hydrométriques de la Cisse. Le débit mensuel moyen (calculé sur 21 ans pour cette station) varie de 0,99 m3/s au mois d'août à 4,22 m3/s au mois de janvier. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 29 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 1,85 m le [4],[10]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 1] et 2[Note 2] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[11],[12]. Sur le plan piscicole, la Cisse est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].

Deux zones humides[Note 3] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de la Cisse » et « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »[13],[14].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 713 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Amboise - Lycée », sur la commune d'Amboise à 7 km à vol d'oiseau[17], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 711,0 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

Urbanisme

Typologie

Au , Noizay est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[22],[23]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[23]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (77,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (27,2 %), cultures permanentes (23,5 %), prairies (22,3 %), forêts (8,8 %), eaux continentales[Note 7] (7,1 %), zones urbanisées (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Noizay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Cisse et la Loire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1999, 2000, 2001 et 2018[29],[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Noizay.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[30]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 655 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 516 sont en aléa moyen ou fort, soit 79 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[32].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1995, 1999 et 2001[27].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme latine Nogarentum en 886[réf. nécessaire] (cacographie probable pour *Nogaretum, d'après le suffixe -entum[33]), Noerium en 1290[réf. nécessaire], Noezayum au XIIIe siècle[34], Nouezay en 1590.

Il s'agit d'un type toponymique gallo-roman *NUCARETU « lieu planté de noyers », sur la base des éléments *NUCARIU « noyer » (dérivé du latin nux, nucis « noix ») et suffixe collectif *-ETU (autrement noté -etum), qui qualifie « un ensemble de choses ».

La première forme *Nogaretum est conforme à l'évolution phonétique régulière : lénition du [c] intervocalique qui devient [g], puis s'amuït complètement [∅] en langue d'oïl (alors qu'en occitan, il se conserve au stade [g], d'où « nougat », emprunt au provençal, issu du bas latin *nucatum). Théoriquement, comme l'indique bien la forme de 1290, la forme attendue devrait être *No(i)ray comme Norrois, Noroy, Nourray, etc., cependant un phénomène secondaire est parfois observé dans le centre ouest de la France, à savoir le passage de [r] à [z] que l'on croit déceler également dans Nozay (Essonne, Noereiz au XIIe siècle[35]).

Albert Dauzat et Charles Rostaing[36], qui ne citent que la forme Noezayum au XIIIe siècle, y ont vu, à tort semble-t-il, un *Nautiacum qu'ils croient reconnaître par ailleurs dans Noizé.

Histoire

Noizay entre dans l'histoire en 886 dans un diplôme de Charles Le Gros. Au XIIIe siècle, Noizay, paroisse rurale, est également un domaine féodal. Ce fief relevait de la baronnie de Vernou qui dépendait de l'archevêque de Tours.

La conjuration d'Amboise

En 1560, un complot veut arracher François II à l'influence des Guise (catholiques) et faire admettre la liberté de conscience pour les protestants. L'enlèvement de François II est prévu le 15 mars 1560. Mais cette conspiration est éventée et le jeune roi est transféré dans la forteresse d'Amboise. Les conspirateurs se replient dans « la maison forte de Noizay ». Villemongis et Castelnau sont décapités à Amboise. Le corps de logis du château de Noizay brûla à cette époque.

Époque classique

En 1594, le fief de Noizay devient une possession de Claude de Marolles, chevalier, gentilhomme ordinaire de la Maison du Roi. En 1651, la famille de Marolles, sans descendance, perd ce fief. Commencée en 1653, la reconstruction du château est achevée en 1717 par Nicolas Lefbvre de La Falluere.

Révolution et empire

En mai 1789, Noizay connaît son dernier seigneur, Léonard Lefbvre de La Falluere. Par le décret du 26 janvier 1790, acte de naissance du département d'Indre-et-Loire, la commune de Noizay, faisant partie du canton de Saint-Ouen, était rattachée au district d'Amboise. Puis, une municipalité cantonale est mise en place. Le 11 juin 1800 marque la fin de cette administration cantonale de Saint-Ouen. Lors de son mariage avec l'archiduchesse Marie-Louise, en avril 1810, Napoléon souhaite que 6000 de ses anciens militaires soient mariés à des jeunes filles méritantes. Pour le canton de Vouvray, après concertation de quelques personnalités, c'est un jeune soldat de Noizay, Michel Angellier qui est désigné. Son mariage, le 1er mai 1810, avec Catherine Melain, est célébré en grande pompe.

La guerre de 1939-1945

Après le décès du maire et conseiller général, Octave Pardou, le 29 janvier 1941, le conseil municipal est dissous. La loi du 5 avril 1884 prévoyait dans ce cas l'instauration d'une délégation spéciale. Celle-ci entre en vigueur le 8 mars 1941. Elle reste en place jusqu'à la Libération. En septembre 1944, une nouvelle équipe dirigeante est installée en attendant les élections municipales d'avril 1945.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
maire en 1967 ? Hubert André DVD Exploitant agricole
mars 2001 mars 2008 Gérard Lecoq    
mars 2008 mai 2020 Jean-Pierre Vincendeau DVD Agriculteur retraité
23 mai 2020 En cours Pierre Morin DVG formateur en CFA
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

En 2021, la commune comptait 1 125 habitants[Note 8], en évolution de −2,17 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0581 1511 1661 1221 1871 1551 1041 1041 149
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0671 1201 2261 1931 1311 1601 1531 0721 055
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0441 0511 0681 0341 0001 000928935873
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
9488629009571 0371 1551 0991 0911 131
2014 2019 2021 - - - - - -
1 1511 1341 125------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Noizay se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription d'Amboise.

L'école primaire Octave Pardou accueille les élèves de la commune.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Église Saint-Prix de Noizay.
  • Église Saint-Prix

La nef a été construite au XIe siècle tandis que les chapelles latérales ont ensuite été ajoutées au XIIe et le chœur au XVe siècle. Elle possède encore des vitraux ainsi qu’une pietà du XVIe. La restauration du XIXe siècle a reconstruit la façade et le clocher.

Le château de Noizay.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Noizay

Les armes de Noizay se blasonnent ainsi :

« d'azur, au cep de vigne à deux sarments tigés et feuillés d'or, fruités chacun de trois grappes de gueules, enfermant un château d'argent ouvert et maçonné de sable, sommé de trois tours couvertes et girouettées du même ; ledit cep posé sur une champagne d'or chargée d'une jumelle ondée d'azur »[41].

Notes et références

Notes

  1. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
  2. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
  3. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Tours, il y a une ville-centre et 37 communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

Notes

Cartes

Références

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Noizay », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
  4. a et b « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  5. « Station hydrométrique K4900030, la Loire à Tours [aval pont Mirabeau] »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
  7. a et b (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Source de la Cisse à Rhodon » sur Géoportail..
  9. « Fiche Sandre - la Cisse », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  10. « Station hydrométrique K4853000, la Cisse à Nazelles-Négron »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  11. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  13. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  14. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  15. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  16. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  17. « Orthodromie entre Noizay et Amboise », sur fr.distance.to (consulté le ).
  18. « Station Météo-France « Amboise - Lycée », sur la commune d'Amboise - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  19. « Station Météo-France « Amboise - Lycée », sur la commune d'Amboise - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  20. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
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  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  27. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Noizay », sur Géorisques (consulté le ).
  28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  30. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  33. Si c'était le cas, la forme attendue serait en -ent, voir Drevent, Nogent, etc.
  34. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 499b.
  35. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Op. cité.
  36. Ibidem.
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Le blason de la commune sur Gaso. Consultation : mars 2009.

Voir aussi

Article connexe

Liens externes

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