Cet article répertorie les bâtiments construits en tant que lieux de culte, n'y figurent donc pas les appartements HLM ou autres faisant office de lieu de prière ou de siège d'association religieuse. Pour consulter des articles plus généraux sur les religions et les communautés religieuses de Besançon, voir les articles de la catégorie 'Religion à Besançon'.
Le patrimoine religieux de Besançon est constitué d'un grand nombre d'églises et de lieux de culte chrétiens, mais aussi de mosquées, d'un temple protestant ou encore d'une synagogue tout à fait remarquable ainsi que d'un patrimoine ornemental faisant souvent référence au christianisme. Avec une cinquantaine de lieux de culte en activité ou réaffectés, la capitale comtoise possède l'un des patrimoines religieux parmi les plus riches et les plus variés de Franche-Comté.
La capitale comtoise ne compte qu'une seule basilique : la basilique Saint-Ferjeux, place de la Basilique. Elle semble être la seconde église construite en Franche-Comté après la cathédrale Saint-Jean, dédiée à saint Ferjeux et son frère Saint-Ferréol et construite au-dessus de la grotte même où les deux saints reposaient[5]. Cependant l'église d'origine fut détruite pour permettre la construction de l'actuelle basilique entre 1881 et 1901[6] par Alfred Ducat[5]. La basilique est de style romano-byzantin, et sa façade antérieure est calée par deux imposantes tours[5]. Cinq chapelles sont situées autour de l'abside et des peintures murales réalisées par des artistes originaires de la ville se déroulent au-dessus des grandes arcades de la nef[5]. La coupole est composée de mosaïques, et un ensemble de vitraux fabriqués par l'atelier Gaudin et des sculptures de Just Becquet complètent le décor[5].
L'église Saint-Hippolyte est un édifice religieux situé rue du Pont dans le quartier de Velotte. La paroisse de Velotte apparaît dans des textes à partir du milieu du XIe siècle[13] ; cependant, cette église fut probablement bâtie au cours du XVIIIe siècle dans un style roman, et fut rattachée récemment à l'Archidiocèse de Besançon sous le nom de communauté de Saint-Hippolyte. Le bâtiment comprend un clocher mesurant environ 17 mètres de haut coiffé d'une croix et d'un coq gaulois, ainsi qu'un seul transept sur le côté droit. L'édifice peut accueillir environ une centaine de fidèles, et comporte une tribune se situant à l'entrée ne pouvant elle accueillir pas plus d'une dizaine de personnes. L'intérieur du bâtiment est orné par trois tableaux, dont deux monumentaux. L'église comporte également un petit orgue, un tabernacle en bois, un crucifix ainsi qu'un cadran solaire à l'extérieur. Une plaque commémorative, situé à l'entrée de l'église, rappelle les noms des habitants du quartier morts durant les guerres. La communauté possède également un petit bâtiment annexe construit durant les années 1980, qui accueille parfois les kermesses et les fêtes du quartier.
L'église Saint-Martin des Chaprais
L'église Saint-Martin des Chaprais est située rue de l'Église dans le quartier des Chaprais. La première église bisontine dédiée à saint Martin était jadis située dans le quartier de Bregille, et aurait été fondée dès le VIe siècle. Cette dernière, qui fut reconstruite à plusieurs reprises, fut définitivement détruite lors du siège de Besançon par l'armée liechtensteinoise, le . Le général Marulaz prit la décision très controversée de raser entièrement le quartier de Bregille ainsi que son église et son cimetière adjacent. L'actuelle église Saint-Martin fut reconstruite à partir de 1821 sur les plans de l'architecte Lapret, sur le lieu-dit du « Pater », au cœur du quartier des Chaprais. Elle fut rebâtie près du cimetière des Chaprais qui existait déjà auparavant, et fut dès lors nommée église Saint-Martin des Chaprais pour la différencier de l'ancienne église Saint-Martin de Bregille[14].
L'église Sainte-Jeanne-d'Arc
L'église Sainte-Jeanne-d'Arc, située rue Crotot, dans le quartier de Bregille. Après plus d'un siècle sans lieu de culte lié à la destruction de l'ancienne abbaye Saint-Martin, l'abbé Quinnez, alors curé de la paroisse de Saint-Lin, est chargé par l'archevêque de BesançonHumbrecht de construire une basilique dédiée à Jeanne d'Arc dans le quartier de Bregille. La première pierre de l'édifice est posée en 1930, mais quand le chœur fut achevé en 1933, les travaux de l'église sont brutalement interrompus et le bâtiment est fermé provisoirement. Les travaux sont finalement repris en 1948, et le projet initial basé sur les plans de l'abbé Quinnez est abandonné au profit d'une esquisse de M. Dumas. Les nouveaux plans présentent alors un édifice associant le style néogothique et le style moderne, où s'intègre un clocher droit de 31 mètres de haut surmonté d'une croix, bien que cette dernière soit finalement rejetée par une commission d'art sacré en 1952. En 1956, les travaux sont finalement autorisés et en 1961 l'église est officiellement consacrée par Monseigneur Marcel Dubois. Ce n'est qu'en 2002 que la cloche est installée, lors de travaux de rénovation. De 2006 à 2019[15], des salles situées à l'arrière de l'édifice sont mises à la disposition des chrétiens orthodoxes[14].
L'église Saint-Claude
L'église Saint-Claude est située rue Jean Wyrsch, dans le quartier de Saint-Claude. Elle fut construite entre 1854 et 1858 dans le style néogothique par l'architecte Alphonse Delacroix (1807-1878). La façade de l'édifice est composée de deux petites tourelles entourant le portail coiffé d'un vitrail rond et d'une statue de saint Claude, ancien évêque de Besançon. Le clocher est détruit dans les années 1980 pour des problèmes d'infiltrations, et remplacé par un campanile à gauche du bâtiment. Cette église fait partie, avec l'église Saint-Louis, de la paroisse Saint-Jean-Baptiste[16].
L'église du Sacré-Cœur
L'église du Sacré-Cœur est située avenue Carnot Sadi-Carnot, près du centre-ville. Après avoir consacré le diocèse de Besançon au Sacré-Cœur en 1914, MgrGauthey décida de la construction d'une église à proximité de Besançon qui lui soit dédiée[17]. L'église fut achevée en 1923, et comporte deux grandes tours encadrant un imposant portail constitué notamment de petites colonnes et d'une statue monumentale de Jésus au Sacré-Cœur et d'une plus petite de la Vierge Marie.
L'église Saint-François d'Assise
L'église Saint-François d'Assise est un lieu de culte situé place Jean-Moulin, dans le quartier de Planoise. L'édifice fut construit au début des années 1970 et inauguré en 1972 par l’architecte et urbaniste Maurice Novarina[18]. Le bâtiment est essentiellement constitué de béton et de contreplaqué, il est dessiné en « carré » (à l’instar des églises traditionnelles, en forme de croix). Il y a à l’intérieur de l’église quelques fresques et vitraux, à l’extérieur une fresque de 33 000 éléments, réalisée par l’artiste Pascutto[18]. À noter que le monument ne dispose d’aucun clocher.
L'église Saint-Pie X
L'église Saint-Pie X, située avenue des Géraniums dans le quartier des Orchamps dans le nord-est de la ville. Le bâtiment fut conçu et bâti par les soins de l'architecte J. Gauthier, et la première pierre de l'édifice est posée durant le printemps 1957. De forme simple, le bâtiment fut réalisé sur un plan rectangulaire et comporte un imposant clocher annexe.
L'église Saint-Joseph
L'église Saint-Joseph, située avenue Villarceau dans le quartier de la Grette-Butte près du centre-ville[19]. Établie sur un plan en forme rectangulaire, cette église en pierre dispose d'un imposant clocher coiffé d'une croix latine[19]. L'église Saint-Joseph dépend actuellement de l'unité Pastorale de Saint Ferréol[20].
L'église Saint-Paul
L'église Saint-Paul située rue de Chalezeule dans le quartier des Clairs-Soleils. Ce fut en que MgrLallier de l’abbé Michel Jaccasse fut chargé de fonder la paroisse des Clairs-Soleils, ce qui fut chose faite en [21]. Il ne manquait alors qu'un lieu de culte digne de ce nom, c'est alors que le curé négocia l’achat du café des Tilleuls et engagea les travaux de démolition-reconstruction, par l’entreprise Baronchelli[21]. L'édifice fut financé par le diocèse (la moitié du coût) et par un emprunt bancaire qui fut remboursé en partie grâce aux bénéfices de deux kermesses annuelles et à une souscription permanente[21]. La nouvelle paroisse de Saint-Paul des Clairs-Soleils, construite par l'architecte suisse protestant Reiner-Senn, accueillait sa première messe en [21].
L'église Saint-Louis
L'église Saint-Louis, située avenue de Montrapon dans le quartier de Montrapon-Fontaine-Écu, fut construite par Rémy Le Caisne en 1967[22]. Cette petite église en pierre est de forme assez simple, bâtie sur un plan rectangulaire. Un presbytère est situé à proximité. Le bâtiment est dépendant de l'unité pastorale de Saint Jean-Baptiste[16]. Cette église fait partie, avec l'église Saint-Claude, de la paroisse Saint-Jean-Baptiste[16]
L'église Notre-Dame du Foyer
L'église Notre-Dame du Foyer, 55 rue Chesnot, est une petite église située dans le secteur des Cras. Elle fut construite en 1967 par un architecte inconnu, de style contemporain assez simple, ne comprenant pas de clochers ou de portails. L'intérieur de l'édifice est tout aussi compact : un simple autel et quelques vitraux modernes composent un style religieux réduit au maximum. L'église Notre-Dame du Foyer est reliée à l'unité pastorale de Sainte Jeanne Antide[23].
Les chapelles
La chapelle Notre-Dame des Buis
La chapelle Notre-Dame des Buis, située dans le quartier éponyme au sud de la ville. Un ermitage datant du XIIIe siècle est attesté, avant que la chapelle actuelle ne le remplace à une date inconnue, mais certainement entre le XVIIe siècle et le XIXe siècle. Après que la chapelle actuelle fut construite, elle fut détériorée en 1815, et restaurée puis agrandie en 1865. Un riche mobilier compose l'intérieur de l'édifice, notamment un orgue ainsi que des statues. Elle est desservie par la communauté de frères franciscains qui habitent juste à côté.
La chapelle Saint-Michel, située 36 chemin de Vareilles dans le quartier de Bregille. L'édifice était à l'origine l'idée de chanoine Mourot qui avait l'intention, en 1936, de construire une chapelle en pierre mais ce dernier, étant décédé durant la Seconde Guerre mondiale, il faudra attendre 1964 pour voir s'établir un édifice préfabriqué sur un terrain donné par la famille Mathey[14].
La chapelle de l'ancien grand séminaire (centre diocésain), 20 rue Megevand, construite par l'abbé Pierre Durnel entre 1670 et 1695 (20 rue Mégevand), est située dans le centre-ville rue Mégevand et classée par les monuments historiques depuis 1926[26].
La chapelle Saint-Jean l’Aumônier de Bellevaux, 29 quai de Strasbourg, 1819-1824.
La Chapelle du couvent de la congrégation de la Sainte-Famille
La chapelle se trouve au sein de la Maison de chanoines dite hôtel Bonvalo datant de 1840. L'architecte est Maximilien Painchaux. La bâtiment se trouve au 4 rue du palais.
La chapelle du couvent de la congrégation des soeurs de la charité de sainte Jeanne-Antide Thouret
L'architecte est Martin Béliard (1802-1895). Les bâtiments furent construits de 1844 à 1847. La chapelle se trouve rue des Martelots
La chapelle Notre-Dame des sept douleurs, 9 rue de la Basilique La chapelle du lycée Saint-Jean
Lieux de culte chrétiens protestants
L'église Cépée
L'église évangélique Cépée, située rue Blaise-Pascal dans le quartier de Planoise. L’Église protestante évangélique est présente à Besançon depuis les années 1970[27]. Le groupe rêve alors de fonder une communauté et une église dynamique, cependant des difficultés apparurent et la dissolution du groupe est votée en 1990[27]. C'est ainsi qu'un grand nombre d'adhérents se dispersent un peu partout en Franche-Comté, excepté une dizaine de personnes tenant toujours à créer l'Église de leurs rêves[27]. Après qu'une aide eut été demandée en à un ancien pasteur de l’Église réformée Gaston Ramseyer, le premier lieu de culte apparaît à La Barre dans le Jura en [27]. L'année suivante, l’association est déclarée en sous-préfecture de Dole, puis en 1992 la communauté est consacrée et intègre l'unité pastorale française[27]. En 2000, le groupe acquiert l'église Cépée au cœur du quartier de Planoise à Besançon[27].
Le Temple du Saint-Esprit
L'hôpital du Saint-Esprit a été fondé à Besançon en 1207 par l'ordre hospitalier du Saint-Esprit, subissant au cours de son histoire plusieurs modifications architecturales[28]. Durant tout le Moyen Âge il accueille les malades, les femmes enceintes, les vieillards, les voyageurs et les orphelins. En accord avec la municipalité de Besançon, à partir du XVIe siècle, il limite ses secours aux enfants, aux femmes et aux gens de passage. En 1792, l'édifice prend le nom d'« Hospice des enfants de la patrie ». Les services hospitaliers sont transférés en 1797 à l'hôpital Saint-Jacques récemment construit, qui devient l'hôpital central de la ville. L'ancien bâtiment évacué est officiellement cédé aux protestants de la ville, après avoir été rénové en 1841 par l'architecte bisontinAlphonse Delacroix qui dote l'église d'un nouveau porche néogothique de style troubadour. Le a lieu la cérémonie de dédicace du temple du Saint-Esprit qui demeure le lieu central de la communauté protestante de Besançon. Il est le seul lieu de culte protestant réformé permanent de la ville, la chapelle annexe du centre social de La Retraite n'étant utilisée qu'occasionnellement.
La mosquée Sunna, construite à la fin du XXe siècle, est la plus grande de la ville. Elle est située rue Élisée Reclus dans le quartier de Saint-Claude
La mosquée Al-Fath située rue Clément-Marot dans le quartier de Planoise a été inaugurée le , en présence de Jean-Louis Fousseret, le maire de Besançon. L'édifice abrite aussi une association culturelle.
L'église Saint-François-Xavier est située au numéro huit bis de la rue du Lycée, à côté du collège Victor-Hugo dans le centre historique. Antoine-François Gauthiot d'Ancier décide de faire don de l'intégralité de sa fortune aux jésuites de la capitale comtoise à la seule condition que ceux-ci érigent une église, aujourd'hui annexe du collège Victor-Hugo. Le don devait avoir lieu en 1629 mais, après un procès contre la compagnie des jésuites, ces derniers doivent attendre 1680 pour commencer la construction de l'édifice[33]. Le bâtiment fut construit en forme de croix, et il fut entouré de petites chapelles annexes. La façade de l’église Saint-François-Xavier fut fortement inspirée de celle de l'Église du Gesù à Rome (Italie) et montre une évolution architecturale au XVIIe siècle. Le rez-de-chaussée de l'édifice comprend des pilastres doriques, surmontés d'une frise de métope et de triglyphe et reliés étroitement à l'étage supérieur, d'ordre ionique, le tout, coiffé d'un fronton. Le clocher est recouvert de lamelles de bois. À l'origine, le monument était dédié à saint Joseph, mais fut par la suite consacré à Saint-François-Xavier, un des fondateurs de la compagnie jésuite. Classée monument historique depuis le [33], l'église fut totalement réhabilitée en 1975.
L'ancienne chapelle des Tilleroyes. Elle est située chemin du Sanatorium près de l'Espace de Réflexion Éthique Bourgogne-Franche-Comté, et fut établie dans une ancienne ferme construite en 1732, avant d'être affectée au culte en 1862, comme le prouve une plaque apposée sur l'un des murs de l'édifice. Une tour remarquable est située sur l'un des coins de la chapelle, et une croix assez discrète coiffe la partie arrière du bâtiment. Sur l'un des côtés, on peut lire la phrase « Sit Nomen Domini Denedictum » et sur la façade principale une petite statuette orne l'une des entrées. Actuellement[Quand ?], la chapelle sert de bureaux.
L'ancienne synagogue, construite par Pierre Marnotte, est située rue de la Madeleine.
L'abbaye Saint-Paul de Besançon, 2 rue d'Alsace, fut bâtie du VIIe au XIVe siècle, désaffectée à la Révolution dont il ne reste plus que les nefs du XIVe siècle (dépôt lapidaire des musées de Besançon)
La chapelle du Fort Griffon (fin du XVIIe siècle), 1 ronde du Fort Griffon, La chapelle a été l'amphithéâtre de l'Institut Universitaire de Formation des Maîtres jusqu'à son départ des lieux.
La chapelle Saint-Étienne, 99 rue des Fusillés, qui tient son nom de la colline où elle est bâtie (et aussi de l'ancienne cathédrale érigée près de l'actuelle entrée de la citadelle, dans l'enceinte même de la Citadelle de Besançon. Elle fut consacrée en .
La chapelle Saint-Louis, 7 rue Antonin Fanart
L'église abbatiale des Antonins, 15 rue du Lycée ; devenue temple maçonnique en 1852.
L'église paroissiale Saint-André, située sur les pentes du mont Saint-Étienne, fut rasée après la conquête française de 1668 pour permettre la construction de la citadelle de Vauban.
L'église Saint-Martin de Bregille, fondée dès le VIe siècle. Cette dernière, après avoir été reconstruite à plusieurs reprises, fut définitivement détruite lors du siège de Besançon par l'armée liechtensteinoise, le . Le général Marulaz prit la décision très controversée de raser entièrement le quartier de Bregille ainsi que son église et son cimetière adjacent[14].
L'église Saint-Quentin qui était située sur l'actuelle place Victor-Hugo. Elle fut construite en 1040 et détruite durant la révolution française[38].
L'église Saint Jean-Baptiste (actuel square archéologique Castan) fut détruite en 1797.
La cathédrale Saint-Étienne, désaffectée en 1669, sera atteinte lors du siège de 1674 puis rasée par Vauban afin de permettre l'édification du front Saint-Étienne de la Citadelle de Besançon.
Le patrimoine ornemental
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↑ abcd et eHector Tonon, Jean-François Culot, Marie-Édith Henckel, Annie Mathieu, Jacques Mathieu, Georges Bidalot, Jacqueline Bévalot, Paul Broquet, Jean-Claude Monti, Anne Porro, Jacques Breton, Jean-Claude Grappin, Pierre-Louis Bréchat, Yves Mercier et Pierre Riobé, Mémoires de Bregille (2e édition), Besançon, Cêtre, , 312 p. (ISBN978-2-87823-196-0)
↑ abcde et fFiche documentaire de la ville de Besançon sur l'église Notre-Dame, direction de la culture et du patrimoine (Guy Barbier et Marie-Hélène Bloch), octobre 2009.
Bernard de Vregille, Éliane Vergnolle, Annick Deridder, Pascal Brunet, Jean-Pierre Gavinet, Pierre Chauve, La cathédrale Saint-Jean de Besançon, Besançon, Les cahiers de la Renaissance du vieux Besançon, , 100 p. (ISSN1276-6771)